LGESTSEIGNEUR

LE BERGER VAURIEN, LA BÊTE ET L’ANTECHRIST

Selon le prophète Zacharie, au temps de la fin, l'ÉTERNEL susciterait, en même temps que son Oint, un pasteur insensé sur son peuple. Cet homme qui combattrait le Christ et la nation sainte est lui même un signe des temps.[1] C'est pourquoi afin que l'on puisse le reconnaitre l'ÉTERNEL, le caractérisa à travers la prophétie. Mais, il faut avoir à l'esprit que plusieurs Paroles ont été dites par différents prophètes pour décrire ce berger insensé qui serait opposé au Seigneur lors de sa venue. De ce fait, la révélation que fait le prophète (Zacharie 11.15-17) ne pouvant être qu'un pan de son portrait, c'est en la recoupant avec tout ce qui, à travers les Écritures, est relatif à cet homme, qu'apparait tout son profil pour l'identifier. Il s'agira donc de passer en revue l'essentiel des Écrits décrivant l'adversaire du Seigneur Jésus Christ et de son peuple, au temps de la fin. A cet effet, la parabole du bon berger (Jean 10.1-18), que laissa le Maitre, est une mine d'informations pour qui recherche la vérité.

 

  • Le mercenaire de la parabole du bon berger

 

Par cette parabole (Jean 10), qui n'a de sens que si nous la situons dans le contexte de la fin des temps, le Christ oppose le mercenaire au propriétaire, le mauvais au bon, le mensonge à la vérité. Le Seigneur y expose, d'une part, les valeurs qui sont les siennes et qu'il incarnera à sa venue et de l'autre, celles qui lui sont contraires et qui seraient celles de son adversaire. Il donna cet enseignement, afin que nous sachions clairement distinguer l'Oint de DIEU (le bon berger) de celui que l'ÉTERNEL susciterait (le berger vaurien) pour prendre au piège tous les malicieux et tous ces pervers qui, prenant plaisir à suivre l'injustice, éliraient le mensonge pour abri.

 

Ce qui est donc important, ce sont les caractères pour reconnaitre l'usurpateur qui serait l'adversaire du Seigneur au temps de la fin. Cet homme par qui arrivera le scandale est tout le contraire de l'Oint de DIEU. C'est pourquoi d'ailleurs, l'on dit qu'il est l'antéchrist. Ce qui implique que c'est en identifiant les caractères du bon berger qu'est le Christ que l'on décèle ceux de son contraire par opposition.

 

NB : Dans la parabole, le mot "bergerie" signifie "nation" ou "pays" ; les termes, les brebis et le troupeau, font référence au peuple ; "le berger" ou "le pasteur" désigne le chef, le roi ou le président de la nation sainte.

 

Etant donné que cette parabole a déjà été l'objet de quelques analyses [2], limitons-nous à trois Paroles qui témoignent de ce berger insensé.

 

1- «En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.» (Jean 10.1)

Plutôt que d'entrer, comme le Seigneur, par la porte dans la bergerie, l'adversaire «escalade par ailleurs». Autrement dit, celui qui serait l'adversaire du Seigneur, le pasteur vaurien, prendrait par effraction la tête du pays (la bergerie) pour se constituer berger, chef de la nation sainte. C'est ce que l'on appelle accéder au pouvoir par la fraude et par la force. D'ailleurs, puisque l'on parle d'un pays, les termes "voleur" et "brigand" ne désignent pas autre chose que le responsable d'un coup de force ou d'un putsch pour prendre la bergerie qu'est la nation des Saints.

 

2- «Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix.» (Jean 2-3)

Ce que traduit ce verset, c'est que le véritable berger (chef) prend légalement la tête du pays. Il ne fait rien par effraction. Il se présente et attend que l'on lui ouvre pour prendre la tête de son peuple. Ici, le terme "portier" est très important.

Car, concernant une nation, le portier qui ouvre la porte de la bergerie, c'est le juge chargé, selon la loi, de proclamer tel ou tel autre au rang de berger (président) du troupeau de DIEU qu'est son peuple. Celui qui est reconnu tel, occupe la place qui lui est dévolue à la tête du troupeau.

En vérité, ce que dénonce ici le Christ, c'est que l'adversaire, qui n'est pas le berger des brebis, violera ce principe. Il n'attendra pas que le portier lui ouvre, il passera outre cette disposition. Il accèdera illégalement à la tête du pays (la bergerie), sans passer par la porte que constituent le droit et la constitution, confirmant ainsi son caractère de voleur et de brigand énoncé plus haut.

 

C'est pourquoi pour le Jour qui vient, par Sophonie l'ÉTERNEL dit : «En ce jour-là, Je châtierai tous ceux qui sautent par-dessus le seuil, ceux qui remplissent de violence et de fraude la maison de leur maître.»

 

3- «Il (le bon berger) marche devant elles ; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Elles ne suivront point un étranger ; mais elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers» (Jean 10.4-5)

Cette Parole est claire. Au contraire du Seigneur (le bon berger) qui est un rassembleur et un leader, celui qui le combattra est complètement étranger au peuple du Christ. Et s'ils le fuient, c'est même qu'ils ne se reconnaissent pas en cet homme et qu'il leur est complètement étrange. Il usera de séduction par des tromperies ; mais quoi qu'il fasse, la multitude ne le suivra pas. Tous ceux qui reconnaissent le témoignage de la vérité se tiendront loin de lui.

 

Mais, il y a un nom pour désigner le parvenu, celui qui n'a aucun lien avec un peuple ou l'étranger qui ravit par la fraude et par la violence une nation (la bergerie), pour se proclamer roi ou chef (berger). – En vérité, l'adversaire du Seigneur est ce mercenaire que dénonce le Christ dans la parabole. (Jean 10.12) C'est un poltron qui, à la moindre alerte, s'enfuit pour se mettre à l'abri, abandonnant partisans et suiveurs. Une raison évidente pour laquelle, jamais il ne se mettra en peine pour le peuple qu'il prétendra vouloir servir.

 

En résumé, retenons de la parabole du bon berger que l'adversaire du Seigneur, le berger vaurien, aurait le caractère d'un mercenaire qui s'emparerait du royaume par la fraude et la violence, piétinant toutes les dispositions légales pour accéder au trône.

 

  • St Paul sur la venue de l'adversaire impie du Christ

 

Ce mercenaire, adversaire de l'Oint de DIEU, l'apôtre Paul, habité par l'Esprit, prophétisant sur sa venue, annonçait : «(…) Il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle DIEU ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de DIEU, se proclamant lui-même DIEU. (…) L'apparition de cet impie se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. Aussi, DIEU leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés.» (2Thessaloniciens 2.3-12)


Il faut se rappeler que l'adversaire impie lutte pour avoir la royauté sur la nation sainte. Par conséquent, le temple de DIEU, dont parle l'apôtre Paul, n'a rien à voir avec un temple religieux où les hommes se retrouveraient pour adorer l'ÉTERNEL. Il s'agit ici du Trône, le Palais royal ou présidentiel de la nation sainte qu'occuperait l'usurpateur impie quand il ravira par la fraude le pouvoir.

 

Pour comprendre que ce Palais est temple de DIEU, il faut se rappeler que le Messie Germe qui fut envoyé pour bâtir le Temple du SEIGNEUR et réaliser les choses qui prouveraient l'imminence de la fin [3], est d'abord un homme qui régnerait sur la nation sainte. Il va donc de soi, qu'il siégea dans un Palais. Cette maison où il régna est temple de DIEU dès lors qu'elle aura été fondée et occupée par ce Messie durant son séjour sur terre. Car, en plus de l'Esprit de l'ÉTERNEL qui était sur lui, il avait aussi été fait DIEU avec les insignes de la majesté divine (Zacharie 6.13), afin que tout ce qu'il réaliserait sur terre soit considéré comme portant le sceau de l'ÉTERNEL et donc comme propriété de DIEU. C'est pourquoi, en plus du Temple du SEIGNEUR (Zacharie 6.12), qui, lui est prévu pour adorer, le Palais qu'a fondé et occupé le Messie Germe est consacré Trône ou temple de DIEU. C'est pourquoi, parlant de l'impie qui s'est installé par la fraude dans ce Palais, l'apôtre dit : le fils de la perdition s'est élevé jusqu'à s'asseoir dans le temple de DIEU.

 

Pour en revenir à la prophétie de St Paul, sachons que le mercenaire de la parabole qui, au temps de la fin, s'opposerait à la nation sainte et au Christ est l'homme du péché et le fils de la perdition dont parle l'apôtre. C'est lui l'adversaire du Seigneur. Par la force de la calomnie, du mensonge et de la violence que déploieront tous ceux que la terre compte de puissants, il accédera sur le Trône du peuple de DIEU, démontrant ainsi qu'il est véritablement un mercenaire à la solde des forces du malin qui dominent sur ce monde.

 

Le mode de son accession au pouvoir est même dénoncé par l'apôtre Paul : l'homme du péché se proclamera lui-même DIEU. Autrement dit, il s'auto proclame à la tête de la nation des Saints de DIEU. L'auto proclamation, n'est-ce pas là le caractère de celui qui piétine les lois et les dispositions légales pour prendre le pouvoir ? Toutes choses que dénonce le Christ dans sa parabole avec l'image du berger qui doit attendre que le portier lui ouvre la porte avant d'entrer dans la bergerie.

 

Après la parabole du bon berger donc, l'on voit se confirmer et même s'étoffer, avec l'apôtre Paul, le profil de l'impie opposé à l'Oint de DIEU. Son statut de mercenaire adversaire du Christ n'est-il pas confirmé par la prophétie de l'apôtre ? – L'avènement de cet homme à la tête de la nation sainte se fera par le puissant de ce monde (Satan) à la suite de mensonges prodigieux et d'actes les plus inimaginables (signes, miracles et prodiges mensongers). En l'absence de toute équité et en violation de toutes les dispositions légales, il se proclamera lui-même chef de l'Etat du peuple des Saints.

 

  • La bête de l'Apocalypse

 

Le livre de l'Apocalypse confirme tout ce qu'annoncèrent le Christ et l'apôtre Paul sur l'adversaire du Seigneur et de son peuple. Mais, la révélation de Jean est plus précise et plus détaillée. Il révèle, outre ses pratiques, tous les acteurs qui prendront part à la chevauchée meurtrière de cet homme pour sa conquête du trône de la nation sainte.

 

Avec le récit de Jean dans le livre de l'Apocalypse, l'on aperçoit plusieurs acteurs entrer en scènes. Mais, remarquons que celui qui fait la guerre aux Saints et donc à la nation sainte et à son Chef, c'est la bête qui sort de l'abîme (néant), (Apocalypse 11.7 ; 13.3-7). C'est pour lui que tous se mobilisent. Il est donc évident qu'il s'agit du même adversaire du Christ, celui que décrivent les révélations précédentes, vu qu'il n'y a pas deux fins des temps. Autrement dit, "le mercenaire", "l'homme du péché", "le fils de la perdition" et "la bête qui sort de l'abîme" désignent le même personnage. Il s'agit de cet homme qui sortit de nulle part pour se tenir sur le sable de la mer (golf), (Apocalypse 13.1).

 

Or dès cet instant, les puissances impérialistes ne firent plus mystère de ce que la bête représentait pour elles : "un pion" essentiel. Le déploiement d'effort et de puissance pour l'imposer en est plus que révélateur.

 

En effet, après qu'il se soit installé sur le sable de la mer, la suite des révélations montre que dans la guerre qu'il livra à la nation sainte pour dominer sur son peuple, les puissances du monde entier se mobilisèrent pour ce fils de la perdition.


- La bête, eut pour lui le grand dragon rouge à sept têtes et dix cornes (Apocalypse 12.2 ; 13.4), organisation réunissant sept Etats et trois institutions [4]. Au sommet de cette organisation à dix cornes se trouvent la plus puissante des nations et son chef, celui que les Écritures nomment le serpent ancien, le diable et Satan [5].

 

- La bête, eut aussi avec elle, Babylone la grande, la grande prostituée, la mère des impudiques et des abominations (Apocalypse 14.8 ; 17.5), c'est-à-dire l'UE [6].

 

- S'ajoutent à ce premier groupe de nations et d'organisations criminelles, la bête à dix cornes et sept têtes (Apocalypse 13.1-2). Autre que le dragon, cette bête est aussi, de toute évidence, une organisation regroupant des nations [7].

 

- Puis, il y eut une troisième bête, celle à deux cornes, aux apparences de forces militaires. Elle faisait descendre du feu du ciel à la vue des hommes, (Apocalypse 13.11-13). Elle fit tous les prodiges pour la bête. Et, à cause d'elle, nombreux périrent.

 

Remarquons que c'est après les crimes de la bête à deux cornes que tout finit. La nation sainte passe aux mains de la bête et le peuple est livré à sa merci. Cet impie y fera ce qu'il voudra (Apocalypse 13.16-17), sous l'œil complice et approbateur de tous ceux qui contribuèrent à l'installer.

 

Mais, autant de nations et d'organisations internationales pour installer une forfaiture, n'est-ce pas la meilleure preuve que celui qu'elles soutiennent est un mercenaire à leur solde ? – En vérité, en les dénonçant ainsi, Jean ne fait pas autre chose qu'attester ce qu'affirmait le Christ dans la parabole et que confirma St Paul : l'adversaire du Christ est un mercenaire.

 

Ces éclairages, celui du Seigneur Jésus Christ (la parabole), celui de l'apôtre Paul (2Thessaloniciens 2.3-12), et le témoignage de Jean (Apocalypse 12 et 13), ne suffisent-ils pas déjà à esquisser le profil de l'adversaire ? Faut-il plus de détails ? - Dans ce cas, quittons l'abstrait pour appliquer ce que nous savons à la réalité.

 

Or, la seule réalité est qu'au regard des Écritures, la Côte d'Ivoire est la nation sainte [3-8]. Là dessus, il n'y a aucun doute. Car, tant la description du territoire de la nation sainte (Apocalypse 12.1 ; 21.16) que les réalisations qui devraient s'y trouver au temps de la fin (Zacharie 3.9 ; 4.1-14 ; 6.12-13), tant les personnages qui doivent l'animer (Zacharie 3.8 ; 6.12 ; Apocalypse 6) que les événements qui doivent s'y dérouler (Apocalypse 12 et 13), tout désigne une et une seule nation sur terre : la Côte d'Ivoire.

Si donc l'on veut comprendre, ce n'est qu'en appliquant les Écritures au cas de ce pays que tout s'éclaire.

 

NB : Pour la transcription, comprenons que dans la rhétorique biblique :

-le mot "corne" désigne une entité (une personne, une nation ou une organisation…)  ayant une puissance ou une capacité de nuisance élevée

-une tête avec un diadème (couronne) signifie un roi à la tête d'une nation. Les têtes avec les diadèmes désignent donc des nations.

 

En conséquence, le grand dragon rouge à dix cornes de l'Apocalypse et le quatrième animal à dix cornes des visions de Daniel désignent une même réalité dont les dix composantes (cornes) possèdent chacune une puissance que l'on peut utiliser pour nuire. Parmi ces dix cornes, sept sont des nations. Ce sont les sept têtes avec les sept diadèmes, (Apocalypse 12.3).

Les trois cornes restantes ne sont pas des nations, ce sont trois organisations aux mains et au service des sept nations. Les sept nations et les trois organisations forment un tout (le grand dragon rouge) sur lequel dominent la nation la plus puissante du monde et son chef. Le mot "corne" désigne aussi bien les nations et les organisations que les personnages qui en sont à la tête, (Daniel 7.24).

 

Dans la configuration actuelle du monde, les sept nations du G7 constituent les sept têtes avec les sept diadèmes. L'ONU, le FMI et l'OTAN forment aux mains du G7, les trois cornes supplémentaires sans diadèmes. Sur cet ensemble de dix, règne en maitre absolu et incontesté le chef de la plus puissante des nations, à la maison blanche.

 

Au temps de la fin, viendra un homme à la tête de cette puissante nation. Il aura une grande popularité, il séduira toute la terre, (Apocalypse 12.9). Cet homme (le dragon),  qui incarne Satan, est aussi la petite corne du chapitre 7 de Daniel. Il présentera un caractère ou un aspect différent des neuf autres qui constituent les dix cornes avec lui. Pendant qu'il sera au pouvoir, trois des neuf qu'il trouvera seront déchus. Il tentera de faire adopter par les nations du monde une loi à l'encontre des prescriptions de DIEU, (Daniel 7.24-25). Il agira perfidement, mais l'on verra clairement sa main au cours de la guerre que mèneront les puissances de ce monde pour imposer la bête au dessus de la nation sainte, (Apocalypse 12.9). La Parole dit qu'il persécutera les Saints pendant «un temps, des temps, et la moitié d'un temps», (Daniel 7.25). Ce qui correspondant aux quarante deux mois au cours desquels il permettra à la  bête d'agir impunément dans la nation sainte. C'est dire qu'il porte la responsabilité de ce que souffrira le peuple des Saints sous la bête.

 

Et maintenant, dans la réalité, voici la traduction étape après étape des visions de Jean aux chapitres 12 et 13 de son livre "Apocalypse".

-Lire cette traduction une Bible ouverte

-Se rappeler que ce que Jean vit dans le ciel est le film exact de ce qui devait se passer sur terre dans la nation sainte au temps de la fin.

-Plus important, dans les chapitres de l'Apocalypse où il est essentiellement question de la nation sainte, le mot «terre» désigne seulement et uniquement la terre de la nation sainte. C'est le cas en particulier dans les chapitres 6, 12 et 13 qui nous intéressent ici.

 

Chapitre 12

 

1- (Apocalypse 12.1-2) Ces deux versets décrivent la Côte d'Ivoire (la femme), la nation sainte, dans la période de trouble précédant l'avènement du Fils prédestiné à conduire sa destinée.

 

2- (Apocalypse 12.3-4) Les versets 3 et 4 révèlent et dénoncent les puissances de ce monde (le grand dragon rouge - G7, ONU, FMI, OTAN) qui se positionnèrent, traitreusement, en vue de faire obstacle à la venue du Fils.

 

3- (Apocalypse 12.5) Il s'agit dans ce verset, de l'avènement (l'enfantement) de Laurent GBAGBO (le fils) en tant que Président de la Côte d'Ivoire et de la tentative de renversement qui intervint en 2002 pendant que le Chef de la nation (le fils) était en Italie vers DIEU et vers son trône (le Vatican).

 

4- (Apocalypse 12.6) Pendant les premiers moments de cette crise, le pays (la femme) fit face aux premières tentatives d'étranglement sur le plan financier. Le pays fut coupé en deux et toute la partie nord resta sous le contrôle de la rébellion. Ce qui réduisit sa surface financière. Les fondements de son économie furent touchés. Dans ces conditions, une nation n'a qu'une seule issue. Ce verset 6 révèle le repli de la Côte d'Ivoire sur ses acquis à la BCEAO à Dakar (dans le désert) où se trouvent ses réserves.

 

5- (Apocalypse 12.7-8) Puis vint l'affrontement (la guerre). Il s'agit là des élections 2010 et de ses péripéties. Les puissances, dissimulées derrière le terme de "communauté internationale", par l'ONU, l'UE, les observateurs et leurs ambassades tentèrent de noyer la vérité afin d'imposer leur homme. Tout le monde se rappelle le zèle du représentant du secrétaire général de l'ONU pour Ouattara. L'on vit aussi  l'inimaginable : l'ambassadeur des USA enlevant avec celui de la France, le président de la Commission électorale indépendante pour l'obliger à proclamer illégalement, dans un hôtel, Alassane Dramane Ouattara, président. Il fallait le faire ! Ils n'ont pas eu d'autre choix, toutes les autres tentatives de falsification afin de mettre le peuple devant le fait accompli ayant échoué.

 

Car, le parti de Laurent GBAGBO et tous ses partisans firent farouchement front, et sortirent victorieux de cet affrontement.

 

NB : Michel est l'ange que Jean vit combattre dans le ciel. Sur terre, vous le reconnaitrez. C'est cet homme qui est à la tête des partisans de Laurent GBAGBO, grâce à qui la tricherie et l'imposture furent dénoncées. A la fin du temps (42 mois) imparti à la bête sur la nation, c'est cet homme qui sonne la révolte. (Daniel 12.1)

 

6- (Apocalypse 12.8) "La communauté internationale" des grandes puissances (le dragon) échoua donc dans sa tentative de faire passer Ouattara pour le vainqueur des élections. C'est pourquoi la Parole dit : «Ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel».

 

7- (Apocalypse 12.9) Leur place ne fut plus trouvée au ciel, car le dragon fut dénoncé. Les Etats Unis furent nommément indexés, quand Laurent GBAGBO révéla le rôle ignoble et sordide de l'ambassadeur de cette nation. C'est alors que plusieurs découvrirent, avec indignation, les mains d'Obama et des USA dans cette affaire. Ce jour là, pour la première fois, toute la nation perçut la vraie face de cet homme. Pour beaucoup, ce fut un choc. C'est pourquoi la Parole dit : «Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui».


Rappelez-vous que le mot "terre" désigne la nation sainte dans ces chapitres. C'est donc aux yeux de la nation que le Diable fut dévoilé (précipité) sans ménagement. Car ceux qui le voulaient pouvaient enfin comprendre s'ils acceptaient d'ouvrir les yeux sur les implications inimaginables dans cette crise.

 

8- (Apocalypse  12.13-14) Après la dénonciation des USA et donc de son chef (le dragon), ce fut l'étape des résolutions présentées à l'ONU contre la Côte d'Ivoire. Elles furent dans un premier temps bloquées par la Russie et la Chine (les deux ailes du grand aigle, voir la carte du monde).

Pendant ce temps, le pays se repliait à nouveau sur ses ressources dans le désert (BCEAO à Dakar) pour échapper au diktat des puissances (le dragon) par le FMI. (Apocalypse 12.14). Car l'asphyxie financière avait été déjà décrétée et la guerre fiscale déclarée était suivie par les entreprises françaises, les plus nombreuses et les plus puissantes dans le pays.

 

9- (Apocalypse 12.15) Puis l'on envisagea l'option du soulèvement populaire des partisans de Ouattara.

Tous les médias Occidentaux furent alors mis à contribution pour salir le pays, son peuple et son Chef. Télé, internet, presse écrite, tous les canaux de diffusion furent inondés pour peindre à Laurent GBAGBO et à son pays une image de méchant, sortie de la seule imagination de ces pervers. La calomnie orchestrée et commanditée déferla comme un flot selon qu'il est écrit : «De sa bouche, le serpent lança de l'eau comme un fleuve derrière la femme».

Pendant ce temps, Ouattara et les siens appelaient au soulèvement populaire.

 

10- (Apocalypse 12.16) Mais, leur espoir de voir le pays (la femme) sombré, emporté par la violence, fut vain. Personne ne suivit dans le pays les nombreux appels à descendre dans les rues et à la violence.

 

11- (Apocalypse 12.17) Médiatiquement vendu comme très populaire en Côte d'Ivoire, l'on prit mal que la violente offensive médiatique et les appels au soulèvement pour installer Ouattara n'aient pas eu l'effet escompté. L'échec de cette dernière stratégie pour déstabiliser le pays irrita fortement les puissants. Et, depuis Washington fut arrêtée par le dragon Obama l'option militaire contre Laurent GBAGBO et contre son peuple.

 

Chapitre 13

 

12- (Apocalypse 13.1) Alors, plus que jamais, Ouattara se retrancha au Golf Hôtel. Et, ce lieu devint comme une enclave dans la nation. Il y rassembla autour de lui, son gouvernement,  ceux de son clan, ceux de son alliance et son armée rebelle. C'est pour dénoncer cette posture que la Parole dit : «Et il se tint sur le sable de la mer». Car, le sable de la mer ne pouvant s'observer que sur une plage ou un golf, l'on peut affirmer que cette périphrase est expressément employée pour désigner le golf Hôtel où Ouattara se tint toute la durée de la crise.

 

13- (Apocalypse 13.1-2) A ce moment-là, entra en action l'UEMOA (la bête à dix cornes, sept têtes, et dix diadèmes) qui tint conseil aux premières heures de la crise pour remettre tous ses pouvoirs à Ouattara. La description au verset 2 (semblable à un léopard, ses pieds comme un ours et sa gueule comme un lion), apparait sur la carte représentant les sept pays de cette organisation ligués contre la Côte d'Ivoire. (Rubrique photos)

 

C'est la réunion qui se tint ce jour-là que dénonce la Parole disant : «Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête» ? (Apocalypse 17.13)

Car, sans aucun doute, l'UEMOA, à l'exclusion de la Côte d'Ivoire contre laquelle les sept autres s'unirent pour Ouattara, est la bête sur laquelle est assise Babylone la grande (l'UE). C'est pourquoi, elle n'a que sept têtes.

 

Les dix diadèmes signifient qu'aucun des dix qui participèrent à la réunion n'a reçu son autorité d'une organisation ou d'une institution. Tous les dix, représentent des rois, c'est à dire des chefs d'Etats. C'est pourquoi, n'étant que des représentants de rois avec cependant un pouvoir de roi, la Parole dit : «ce sont dix rois qui n'ont pas encore reçu de royaume».

 

Ces dix sont les ministres de l'économie des sept nations (Benin, BF, Mali, Togo, Sénégal, Guinée Bissau, Niger) complétés à huit par celui de Ouattara, alors retranché au Golf hôtel. Son ministre ne représentait aucun État, si ce n'était lui même. Ce qui explique qu'il n'y a que sept têtes au lieu de huit pays que compte cette organisation. A ces huit ministres s'ajoutèrent, les représentants (deux) de la France, certainement les deux qui siègent au conseil d'administration de la BCEAO. Les décisions se prennent à l'unanimité. Ce qui veut dire que chacun des représentants français a les mêmes pouvoirs que chacun des représentants des nations membres. Ce sont donc comme dix rois qui se retrouvèrent pour décider contre Laurent GBAGBO et contre la Côte d'Ivoire.

 

Ces dix personnalités, ne se sont-elles pas réunies avec la ferme recommandation de leurs gouvernements respectifs de remettre tous les pouvoirs sur cette organisation à Ouattara ? -C'est afin que cette Parole de l'ÉTERNEL s'accomplisse : «Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête», (Apocalypse 17.13).

Toute la terre fut témoin de cette démarche, et des conséquences de cette décision : la BCEAO, la réserve, interrompit tout lien et toute transaction avec la Côte d'Ivoire.

 

14- (Apocalypse 13.3) Il y eut le mal qui frappa Ouattara (la bête), l'une des têtes de l'UEMOA, (Apocalypse 17.11). Et il y eut la rumeur de sa mort qui courut. Puis guéri, il revint, à la grande joie de ses partisans plus fiers que jamais de leur champion.

 

15- (Apocalypse 13.4-6) A ce moment là, afin d'arriver rapidement à leur fin, les puissances Occidentales avec Obama à leur tête accordèrent une grande autorité à Ouattara (la bête qui reçut la blessure mortelle). Alors, qu'il n'était encore qu'un simple rebelle, contestataire de résultats d'élection retranché dans son hôtel, il reçut le pouvoir d'exiger de l'ONU et des nations sous la domination des Occidentaux, tout ce qui pouvait contribuer à sa victoire.

 

Il devint plus arrogant. Refusant toute démarche allant dans le sens de la paix, il menaçait de tout détruire, même le palais, pour le reconstruire.

Il faisait tout ce qu'il voulait. Ses partisans narguaient tout le monde en disant : «Ce que Ouattara dit, il le fait». Et comment !

Il ordonna et obtint, la fermeture des succursales des banques françaises, afin que l'étranglement financier fût total autour de la nation.

Il décréta l'embargo sur tous les médicaments en direction de la Côte d'Ivoire. Toutes les nations et organisations du monde s'exécutèrent. Et là, tous ses partisans furent vraiment en admiration pour lui. Car jamais, on n'avait vu cela.

Entre eux, ses adorateurs se congratulaient disant : "Qui peut combattre contre Ouattara ?" Traduction de ce qui est écrit : Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre Ouattara ?  

Il commandait et la représentation de l'ONU et sa force d'interposition exécutaient.

L'onuci quitta alors sa posture ambigüe et devint carrément une des forces belligérantes aux côtés des forces rebelles de Ouattara.

 

16- (Apocalypse 13.7) Ainsi, Ouattara commanda sur l'ONU, organisation supranationale, afin que soit accomplie la Parole de DIEU disant : «Il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation». Par cette autorité sur les forces de l'ONU, Ouattara reçut de la communauté dite internationale (le dragon) le moyen d'engager la guerre et de vaincre.

Que se passa-t-il par la suite ?

 

17- (Apocalypse 13.11-13) Les forces licorne et onuci, forces d'interposition arrivées comme un agneau dans le pays pour servir de méditation en vue de la paix, s'illustrèrent tel un dragon. Par la bouche du porte-parole de l'onuci et de Sarkozy pour la licorne, ce ne furent plus que menaces, invectives et ultimatum.

 

C'est à ce moment là que Sarkozy (le faux prophète Apocalypse 19.20) prit tout en mains pour exécuter pour Ouattara (la bête) les destructions et les crimes qui le menèrent au pouvoir. Il disposa en plus de la licorne, des forces de l'onuci. C'est pourquoi il est dit : «Elle (la bête à deux cornes) exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence». (Apocalypse 13.12)

 

Sur le terrain même, c'est ouvertement comme un dragon que se comportaient ces deux forces. Mitraillant depuis des hélicoptères et déversant des lames de feu sur les cibles militaires et les populations civiles qu'elles massacrèrent, les casques bleus de l'onuci et la licorne alliés pour exécuter les ordres de Sarkozy, constituent la bête à deux cornes qui faisait descendre du feu du ciel à la vue des hommes. (Apocalypse 13.13)

 

18- (Apocalypse 13.14) Sous l'instigation de la France de Sarkozy, ces forces initièrent et encadrèrent la création d'une chaine de télévision à Ouattara au Golf hôtel, selon qu'il est écrit : «Elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait». Et un canal pirate de télévision fut créé. TCI qu'elle s'appelait. Elle diffusait, les activités de Ouattara au Golf, sa propagande mensongère et ses menaces contre la nation.


19- (Apocalypse 13.14-15) Puis vint l'étape ultime de la guerre qu'ils appelèrent "l'assaut final". N'est-ce pas par le canal de cette télévision pirate que Ouattara, appelant à s'attaquer à la nation et à détruire tout ce qui se mettrait en travers de son chemin vers le Trône, s'adressa aux siens ? Ce qui fut fait est clairement traduit par cette Parole : «Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués».

Ce fut effectivement l'assaut. Convoyés par la licorne française et l'onuci, les rebelles se ruèrent sur le sud et sur Abidjan.

Les forces licorne et onuci, en appui aux rebelles, n'ont-elles pas bombardé, détruit et ravagé pour imposer Ouattara ?

 

Comme il est écrit : «Il lui fut donné de faire la guerre aux Saints, et de les vaincre», Ouattara (la bête) fit sa guerre à la Côte d'Ivoire (la nation sainte) et il vainquit et l'abomination s'installa. L'iniquité aussi.

 

20- (Apocalypse 13.16-17) S'institua alors dans le pays, sa politique hideuse d'exclusion dite de "rattrapage". Seuls ceux de la région nord sont promus. Tous ceux qui n'ont pas été pour lui pendant sa guerre sont virés de leur poste de responsabilité pour des pro Ouattara. Le plus inique, ce sont ces licenciements injustifiés.

Ce témoignage n'est nullement de la calomnie. C'est ce que vit ce pays et c'est ce que subissent ceux qui sont soupçonnés d'avoir soutenu Laurent GBAGBO. D'ailleurs il ne s'en cache pas. Car l'entreprise témoin de la pratique de cette politique de rattrapage est la RTI, vitrine de la Côte d'Ivoire.

 

Les marchés, les contrats d'exploitation sont rarement soumis à des appels d'offre. Tout se conclut à la tête du client. L'on ne parle plus que de gré à gré, de passe-droits et de recommandation, là où ne devraient primer que des critères de compétences et de compétitivité.

 

«Elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front», (Apocalypse 13.16). Aujourd'hui, par Ouattara, il n'y a aucun doute que cette Parole est accomplie.

 

Ah ! Combien a fait fantasmer cette parole ! Au point que nombreux s'attendent à ce que nous portions des puces sous les ongles, sous la peau ou je ne sais où encore ! Il n'en est rien. Qui aurait d'ailleurs accepté de la porter après avoir lu ces versets ? Croyez-moi, ce que les Ecritures dénoncent est plus subtil, mais plus simple et même plus commun que cela.

 

Comprendre que :

-le signe sur la main droite, c'est le mot, le billet, ou la lettre de recommandation que l'on présente de la main droite

-le signe sur le front ne concerne que les entreprises. En fait, il s'agit de l'enseigne qu'elles portent sur le front.

 

Désormais, seules prospèrent dans le pays, les entreprises qui sont connues pour être de son bord. Les anciennes, celles qui existaient déjà et qui l'ont soutenu, avaient été répertoriées et fichées et de nouvelles ont été créées de toutes pièces dès son avènement. Leur enseigne, «c'est la marque sur le front» qui permet de les reconnaitre afin de traiter ou non avec elles.

 

Le mot qui vous recommande, c'est le passe-droit pour les individus et pour les sociétés. C'est le signe dans la main droite qu'il faut présenter pour être reçu, pour se voir offrir un marché ou pour avoir du travail. De nombreux recrutements sont ainsi effectués sans passer par des concours. Et même après concours, le travail, la connaissance ou la compétence n'ont jamais été des critères de sélection avec ces gens là.

 

Car, selon qu'il est écrit : «Personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre (le chiffre) de son nom» (Apocalypse 13.17), trois groupes de personnes, dans le pays, sont assurés de prospérer. Ce sont ces personnes qui reçoivent les billets de recommandation et/ou ont les entreprises dont le nom (la marque sur le front) est fiché :

 

- ceux de son parti. Sa marque (RDR) leur sert de passe-droit.

- ceux de sa famille et ses propres protégés. Son nom (Ouattara) constitue pour eux le sésame.

- ceux du groupe de six (Bédié, Anaki, Wodié, Mabri, Soro, Gnamien) révélés par la Parole (Apocalypse 6) et leur clan. Ils forment une alliance autour de Ouattara. Ce groupe est sacré pour lui, pour la reconnaissance qu'il leur doit, mais aussi, pour ce que leur nombre (6) représente symboliquement pour sa cabale. C'est pourquoi être de la famille des six ou être recommandé par l'un de ces six sert de caution.

 

A ce propos, remarquons que parlant de la bête sortie de l'abîme l'on dit souvent "la bête 666". Par conséquent 666 est aussi le nom de la bête. 6 est donc le chiffre de son nom 666.

 

21- (Apocalypse 13.18) Le SEIGNEUR nous apprend que le nombre "666" de la bête est une énigme qu'il nous invite à résoudre par le calcul de ce nombre.

 

Tellement d'interprétations fantaisistes et loufoques ont été faites de ce nombre, que nombre d'incrédules et de moqueurs, auto proclamés censeurs de ce dont ils n'ont aucune idée, en sont arrivés a la conclusion qu'il n'est pas possible de le calculer. Déclaration insensée, car de fait, elle conteste la Parole même de l'ÉTERNEL qui dit : «Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête». DIEU aurait-Il, aussi clairement, invité à faire ce calcul s'il n'existait pas ? Pour quel objectif alors le SEIGNEUR aurait-Il dit cela ?

 

Par les oracles sur la fin des temps, faut-il le rappeler, DIEU fait découvrir aux hommes les signes et les personnages qui existeraient, afin que nous reconnaissions le temps de la venue du Christ. C'est ce que permet en tous cas l'Apocalypse de Jean et c'est à cela que répond cette invitation du SEIGNEUR à calculer le nombre de la bête. Autrement dit, celui sur qui portent les soupçons d'incarner la bête est au centre de ce calcul, d'autant plus que le but principal de cet exercice est de confirmer que c'est bien lui le coupable. Il va donc sans dire que ce calcul ne peut même pas être envisageable en l'absence de l'homme du péché qui incarne la bête.

 

Car il n'y a que l'accomplissement des paroles prophétiques le concernant qui puisse rendre possible le calcul du nombre 666. Ce qui signifie que pour pouvoir effectuer ce calcul il faut  au moins que la bête soit en train de sévir au temps de la fin dans la nation sainte.

 

Bref ! Le calcul du nombre 666 exige d'avoir l'intelligence de tout ce qui a été dit sur le personnage qui incarne dans la réalité la bête qui reçut la blessure de l'épée. Mais deux ou trois choses sont primordiales et doivent servir de boussole à la recherche de ce nombre :

- se laisser guider par les Ecritures et ne pas en sortir,

- garder en mémoire que celui qui incarne la bête est le pion des nations impérialistes occidentales contre la nation sainte,

- étant donné que l'on cherche à faire un calcul pour trouver un nombre, seule une donnée chiffrée pourrait servir de point de départ.

 

De ces remarques, il ressort que ce nombre ne peut se calculer qu'en se fondant essentiellement sur une Parole : «(…) C'était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes (...) Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu'elle aurait enfanté (Apocalypse 12.3-4)

Le grand dragon rouge à sept têtes et dix cornes, l'on sait ce que c'est.

La femme désigne la Côte d'Ivoire, la nation sainte. Son enfant, c'est évidemment, le Chef de la nation sainte combattu par les puissances pour Ouattara (la bête).

 

En fait, ce verset 4 du chapitre 12 explique que depuis bien longtemps, avant même les hostilités présentes, les puissances étaient en embuscade afin de faire obstacle à celui qui est prédestiné à la tête de la nation sainte. Il s'agit de savoir en quoi a consisté l'embuscade et, quand exactement elles se positionnèrent perfidement.

 

Or pour ceux qui connaissent l'histoire de ce pays, il est de notoriété publique que Ouattara fut imposé à H. BOIGNY et à la Côte d'Ivoire par Washington et les institutions financières internationales, c'est à dire donc par le dragon.

 

Vu que cet homme, non seulement lui dispute la place de Chef de cet Etat, et qu'il n'a raté depuis son arrivée sur le sol ivoirien (1989) aucune occasion (1992, 2002 et 2010) pour tenter d'écarter, voire d'éliminer physiquement Laurent GBAGBO, l'on est en droit de déduire que c'est par lui que les puissances espéraient atteindre leur cible et leurs objectifs.

 

De ce fait, 1989, année où de nulle part et comme sorti du néant de l'abîme, il débarqua sur la scène politique ivoirienne, est à prendre pour date de départ de toute cette affaire.

 

A ce stade, il faut prendre en compte et connaitre ce que dit la première partie de ce verset 4 : «Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre».

 

Remarquons la donnée chiffrée : "le 1/3 des étoiles du ciel".

 

Or, quand l'on parle du tiers d'une quantité ou d'un ensemble, c'est qu'il s'agit d'un nombre précis. Autrement dit, le tiers d'une quantité est une part précise, chiffrable (1/3) d'un tout qui est forcément tout aussi précis et quantifiable. C'est pourquoi, ne pouvant en dénombrer les étoiles, il est sûr que dans ce verset il ne peut s'agir du ciel au dessus de notre tête. Il faut plutôt rechercher sur terre un symbole qui, pour les hommes et pour les nations, représenterait le ciel.

 

En vérité,  il s'agit de l'ONU. Organisation supranationale que les hommes et les nations se sont donnés pour dominer au dessus d'eux. Elle est le ciel au dessus de tous. Les nations membres en sont les étoiles.

 

Jusqu'à fin 1989, année où apparut Ouattara en Côte d'Ivoire, l'ONU comptait 155 membres. Le tiers de ce nombre, lorsque l'on fait le calcul avec une machine, donne 51,6666666666666...

Mais, l'ÉTERNEL sait que nous aurions des machines pour effectuer cette opération. C'est pourquoi, par sa Parole, DIEU nous précise que c'est un chiffre (nombre) d'homme. Autrement dit, le résultat ne doit pas être un nombre que donnerait une machine. Or toute division faite par l'homme, sans aucune machine, s'arrête au millième près. Ce qui donne 51,666.

 

Ce nombre (51, 666) constitue le tiers des nations (étoiles) de l'ONU (du ciel) en 1989.

Mais en même temps, il révèle la relation très étroite entre ceux qui dirigent le dragon à dix cornes, les USA (51 États) et Ouattara, la bête 666.

Par sa queue que représente sa partie décimale 666 (la bête), le dragon, les USA, la partie entière (51), se projetèrent sur la terre de la nation sainte.

 

Il faut donc comprendre que c'est par la bête (Ouattara), que le dragon (les USA et les autres) se tint en embuscade devant la femme (la Côte d'Ivoire) depuis 1989, en vu de supprimer, quand il viendrait, le fils (L. GBAGBO) prédestiné à occuper le Trône de cette nation à la tête du peuple de DIEU.

 

Que chacun juge, Ouattara a-t-il tenté, plus d'une fois, d'assassiner Laurent GBAGBO ou non ? – La dernière tentative en Avril 2011 a montré que c'est pour les puissances qu'il cherchait à supprimer LG. Face aux multiples échecs, Sarkozy s'était désigné pour accomplir le travail.

 

Par la puissance de l'ÉTERNEL son DIEU, ils ne purent l'éliminer. Car cela n'est écrit nulle part. Mais, au bout de cet activisme tous azimuts et de l'iniquité la plus impensable, l'abomination n'a-t-elle pas été installée ? La vérité, la justice, des vies, que n'ont piétiné les puissants de ce monde pour faire droit au mensonge et à l'injustice la plus abjecte afin de faire accéder cet impie à la place où il se trouve ? St Paul avait donc raison quand il prophétisait : «L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité…».

 

En tous cas, le moins que l'on puisse avouer est que son titre de candidat et d'élu de la communauté internationale n'est nullement contredit par la prophétie. A ces élections 2010 en Côte d'Ivoire, nous avions un candidat, 100% pour les Ivoiriens, opposé à un candidat, 100% pour l'étranger. Comme il était interdit de prononcer le mot "étranger", sous peine de soulever le courroux de ceux qui dictent ce qui est bien et ce qui ne l'est pas, Laurent GBAGBO se contenta d'afficher : "100% pour la Côte d'Ivoire" durant la campagne. Ceux qui sont habités par l'esprit de vérité comprirent.

 

Quoi qu'il en soit, les Ecritures sont claires et livrent un verdict implacable : Ouattara est la bête 666. Et, quels que soient nos diplômes académiques et notre cursus universitaire, faire l'impasse sur autant de prophéties concordantes sur Obama [5], Sarkozy [9] et Ouattara, sans oublier celles sur H. BOIGNY [3], sur L. GBAGBO, sur la Côte d'Ivoire et sur bien d'autres, sans aucune analyse, ne saurait être la démonstration d'une grande intelligence.

 

Or, des preuves que la Côte d'Ivoire est bien la nation sainte, il y en a à foison dans la Bible. Et s'il en faut encore, il est bon de rappeler qu'outre ses commanditaires sur le plan international, Daniel nous apprend que cet homme, qui s'opposerait à l'Oint de DEIU, se constituerait une alliance dans la nation sainte, (Daniel 9.27). Il s'agit de cette alliance autour de Ouattara, mentionnée plus haut, dont les six principaux animateurs sont reconnaissables à leurs caractères révélés par Jean, (Apocalypse 6). Succinctement, il s'agit de :

 

1- Konan Bédié, celui qui reçut le pouvoir (la couronne) alors qu'il tenait le perchoir de l'Hémicycle (l'arc) (Apocalypse 6.2). Il sera redoutablement utilisé pour la conquête du pouvoir.

 

2- Anaki Kobenan, le fougueux (cheval roux), ex ami du FPI et de Laurent GBAGBO. Parti de sa famille politique d'origine pour semer la discorde, il s'est transformé en un irréductible ennemi. Il est le symbole de la division et de la haine irréductible et meurtrière entre les frères d'une même famille. (Apocalypse 6.4)

 

3- Wodié Francis, agrégée de droit, il incarne la justice (la balance). La Parole nous apprend que celui-là est un codificateur (une mesure de blé pour un denier…). Appliqué à la justice humaine, il s'agit d'un constitutionnaliste ; ce qu'est cet homme dans la réalité. Il vient d'ailleurs d'hérité de la présidence du Conseil constitutionnel, en récompense à son parjure. Car ce juge a une particularité que dénonce la Parole. C'est qu'il applique une justice sélective (Mais, ne fais point de mal à l'huile et au vin). De son seul chef, il exige (c'est ce qu'insinue le mode impératif) que l'accession au trône qui est au-dessus de tout (l'huile et le vin) ne soit soumise à aucune loi déjà écrite. (Apocalypse 6.5-6)

 

4- Mabri Toikeuse, il doit sa prospérité à la mort du Général d'armée, Robert Guéi. Ce qui lui vaut de faire partie de cette alliance, c'est d'avoir hérité du parti créé pour le Général Guéi. Sa situation, il la doit à la mort. C'est pourquoi tout évoque la mort autour de lui : sa monture est un cheval blême, le séjour des morts le suit.

Car par ailleurs, si l'on prend la division : Nord, Sud, Est Ouest ; chacune de ces parties constitue le quart du pays. Or, l'Ouest (le quart du pays) d'où est issu cet homme, est livré aux tueurs qu'ils se sont donnés pour piller, tuer et entretenir la terreur, selon qu'il est écrit : «le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre pour faire périr les hommes…» (Apocalypse 6.8) De fait, les hommes y meurent par centaines, voire par milliers, victimes des forces (l'épée) de Ouattara. Certains ayant abandonné villages et champs pour échapper à ces tueurs périssent de la faim ou succombent des suites de maladies, quand d'autres, dans leur fuite à travers bois sont déchiquetés par des bêtes féroces.

 

5- Soro Guillaume, chef déclaré de la rébellion. A son propos, point n'est besoin de commentaires. Il est responsable de toutes les exactions et de la mort des agents en service, civils comme militaires, depuis le début de la rébellion jusqu'à la guerre postélectorale. Les décapités, les égorgés, les charniers (les morts ensevelis) sous l'autel qu'est la terre de cette nation, c'est lui. (Apocalypse 6.9-11)

 

6- Gnamien Konan, chef de la douane à l'époque du scandale des déchets toxiques qui secoua toute la nation (un grand tremblement de terre). Il joua un rôle clé dans la perpétration de ce crime contre les enfants, les nouveau-nés (les étoiles) de ce pays qui en moururent nombreux. Les conséquences de cet acte criminel sur la santé publique sont inimaginables.

Remarquons au passage que son nom, Gnamien, signifie ciel. Lui, le véritable responsable qui permit la perpétration de ce crime, se fit tout petit (Le ciel -Gnamien- se retira comme un livre qu'on roule) pour laisser accuser d'autres (toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places). Des personnalités furent éclaboussées, d'autres perdirent leur situation professionnelle.

 

Cette révélation sur ses alliés intérieurs contredit-elle la réalité que nous offre à voir Ouattara ? Ne s'est-il pas fait une alliance qui l'accompagne dans sa forfaiture ? Six de ses principaux alliés ne sortent-ils pas de cette nation et ne sont-ils pas tels que décrits par les Écritures ?

 

En vérité, avec les Écritures nous pouvons affirmer que «C'est la dernière heure, et comme vous avez appris qu'un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c'est la dernière heure. Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres ; car s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous, mais cela est arrivé afin qu'il fût manifeste que tous ne sont pas des nôtres.» (1 Jean 2.18-19)

 

«Eux, ils sont du monde ; c'est pourquoi ils parlent d'après le monde, et le monde les écoute. Nous, nous sommes de DIEU ; celui qui connaît DIEU nous écoute ; celui qui n'est pas de DIEU ne nous écoute pas : c'est par là que nous connaissons l'esprit de la vérité et l'esprit de l'erreur.» (1 Jean 4.5-6)

Le monde ne fit-il pas mieux que les écouter ?

 

Pour terminer avec la bête, signalons deux faits remarquables à l'actif de cet adversaire et de ses commanditaires contre les Saints et contre le Chef de leur nation. Ces deux actes, ajoutés à tout ce que l'on sait déjà, sont deux autres preuves que c'est bien Ouattara la bête. C'est Daniel qui les révéla.


En effet, la bête, le dévastateur, comme le nomme Daniel dans ses prophéties, fit cesser le sacrifice perpétuel et fit détruire le sanctuaire du Chef de la nation sainte, (Daniel 8.11 ; 9.26-27). Il s'agit de la suspension du paiement des taxes et impôts que décrétèrent Ouattara et Sarkozy et de la destruction ordonnée par ces deux hommes de la Résidence de Laurent GBAGBO, Chef de ce peuple de Côte d'Ivoire.

 

Comme chacun a pu le constater, tous les Écrits relatifs au temps de la fin identifient un et un seul imposteur. C'est l'homme du péché, le fils de la perdition, l'impie ou l'adversaire, selon l'apôtre Paul. Il a pour lui, sur le plan intérieur ceux de son alliance et sur le plan extérieur, ses commanditaires internationaux, les nations impérialistes qui sèment le mal et la destruction partout sur terre. Pour sa capacité de nuisance, Daniel le nomme le dévastateur (Daniel 9.27) ou l'abomination dévastatrice (Daniel 12.11). Pour Jean, l'auteur de l'Apocalypse, c'est la bête : une brute sans aucun sentiment humain qui fit tuer des milliers de gens et qui reçut, par l'approbation de Satan, le chef de la nation la plus puissante au monde, l'autorité de persécuter le reste de la nation, pendant quarante-deux mois (Apocalypse 13.3-7), c'est-à-dire trois ans et demi, un temps des temps et la moitié d'un temps(Daniel 7.25 ; 12.7) [5]

 

C'est au cours de la guerre qu'il fit à la nation de DIEU, que cette abomination qu'est la bête, reçut, la blessure de l'épée de l'ÉTERNEL dont parle Zacharie dans sa prophétie. Frappé, il fut comme mort. Mais, comme prévu par les Écritures, il fut guéri, afin que ceux qui n'ont pas reçu l'esprit de vérité et qui, prenant plaisir à l'injustice, ont érigé la force et la violence en mode de résolution des différends sur la terre, croient à son invulnérabilité, lui restent attachés et l'adorent jusqu'à leur extermination avec lui, au temps indiqué.

 

Si tous les caractères énumérés ne vous décident pas à voir en cet homme qui s'est emparé du pouvoir sur ce peuple par la fraude et la violence comme l'adversaire impie et l'antéchrist, terminons en lisant avec Zacharie le complément de son profil. Car, par le berger vaurien, l'ÉTERNEL met en évidence, outre son portrait moral qu'il complète, un trait remarquable de l'aspect physique de ce pasteur tout particulier.

 

  • Portrait de l'antéchrist selon le prophète Zacharie

 

Rappelons que le berger vaurien est ce pasteur que suscitera l'ÉTERNEL au temps de la fin pour s'opposer à son Christ (Zacharie 11.16). C'est donc l'adversaire du Christ. Et, bien évidemment, cet homme incarnera des valeurs contraires à celles de DIEU et à celles de son Oint : c'est l'antéchrist.

 

Mais, avant tout, remarquons le lieu où apparaitrait cet homme pour être pasteur (chef de l'Etat). Car dit l'ÉTERNEL : «Je susciterai dans le pays un pasteur.». Autrement dit, même s'ils pourront être observables de l'extérieur, les agissements de cet homme s'exerceront principalement et presqu'exclusivement à l'intérieur de la nation sainte et sur son peuple, dont il s'accaparera le Trône pour en être le chef.

 

En conséquence il est absurde de penser qu'il y aurait un antéchrist qui dominerait sur la planète entière, comme une certaine interprétation des Ecritures le laisse croire.

En vérité, c'est Satan, le chef de la plus puissante des nations, qui domine sur les dix cornes du grand dragon rouge (G7, OTAN, ONU, FMI) et qui règne sur le monde. Ce n'est nullement l'antéchrist (la bête) qui, lui, bénéficie de la puissance de Satan (le dragon) dans sa confrontation contre le Christ et son peuple pour la domination sur la nation sainte.

 

Cela dit, voyons ce que l'ÉTERNEL nous accorde par le prophète Zacharie pour confirmer l'identification de l'impie.

 

L'aspect moral de l'adversaire apparait à travers le passage suivant : «L'ÉTERNEL me dit : Prends encore l'équipage d'un pasteur insensé ! Car voici, Je susciterai dans le pays un pasteur qui n'aura pas souci des brebis qui périssent ; il n'ira pas à la recherche des plus jeunes, il ne guérira pas les blessés, il ne soignera pas les saines ; mais il dévorera la chair des plus grasses, et il déchirera jusqu'au cornes de leurs pieds. Malheur au pasteur de néant qui abandonne ses brebis !» (Zacharie 11.15-17)   :


Sur ce plan, c'est un abominable chef d'Etat que cet homme que nous peint l'ÉTERNEL. En tant que berger (chef de l'Etat), c'est un insensé et un vaurien. Les mots sont dures, mais ce sont ses actes qui justifient leur emploie pour le qualifier. Décrivent-ils Ouattara ?

 

Remarquons que cet homme n'a aucun égard, pour le peuple sur lequel il trône pour le bonheur de ses commanditaires. Il le persécute depuis son imposture. Les exilés, il ne mena aucune politique rassurante pour les ramener. Bien au contraire. Les meurtrissures resteront béantes et même qu'il les exacerba. La destruction de la cohésion nationale, il en fit son affaire par une politique systématique dite de "rattrapage" ethnique et clanique, d'après son propre terme ; publiant ainsi, devant tous, ce qu'il faisait dans l'ombre. Les avoirs des plus aisés de ses opposants, il les gela. Impassible devant leur détresse, il les regarde périr. Nombreux perdirent leurs maisons illégalement occupées par sa milice rebelle. Malmenant, séquestrant et torturant ceux qui ne le reconnaissent pas, il les traquera jusque dans les pays où ces derniers trouveront asile. Sur le territoire national même, le pays n'a jamais compté autant de prisonniers du fait de leurs opinions politiques que sous ce régime tortionnaire et assassin. Ministres, hauts fonctionnaires et simples agents de l'Etat, gradés de l'armée et militaires de rang, agriculteurs et ouvriers, nombreux croupissent encore dans ses prisons pour avoir dit non à ses mensonges et à l'iniquité.

 

Par ailleurs, ceux qui ont échappé à sa furie dévastatrice lors de sa chevauchée pour le pouvoir sont livrés à son armée et à ses milices tribales. Le pays tout entier a été partagé en zones à la tête desquelles sévissent des individus sans aucune qualification qui en toute impunité continuent de piller, d'enlever et de traumatiser leurs victimes pour les plus chanceux de ces derniers.

 

De plus, dans un pays où la misère n'a fait que croitre, depuis cette usurpation, il ne se passe pas de mois sans destructions de commerces et d'habitations. Rendant ainsi témoignage à la prophétie sur lui disant : «Sur l'aile  des abominations, il y aura un dévastateur et cela, jusqu'à ce que l'anéantissement décrété fonde sur le dévastateur.» (Daniel 9.27- TOB)

 

Envers ceux qui pâtissent de ces destructions dont la majorité se compte parmi les démunis, aucune compassion. Mais plutôt l'arrogance et le dédain de ses ministres de la bouche desquels on n'entend que des paroles des plus méprisantes pour cette population. «On va les dégager sans état d'âme», tel est le mot de réconfort de ces serviteurs du peuple version Ouattara. Il parait que la beauté de la ville vaut bien ce mépris.

 

Mais, en affichant un tel dédain pour le peuple, en montrant une totale absence de compassion, en faisant subir les pires atrocités aux uns tout en abandonnant les autres à leur sort, Ouattara ne nous donne-t-il pas la preuve qu'il est véritablement le mercenaire et le pasteur insensé et vaurien qui abandonne ses brebis dont parle le prophète Zacharie ?

 

Prenons-le maintenant sur le plan physique, peut-être contredira-t-il la prophétie ?

Car, le pasteur de néant, l'antéchrist, afin que l'on puisse le reconnaitre sur le plan physique, voici la malédiction que lui lança l'ÉTERNEL : «Malheur au pasteur de néant, qui abandonne ses brebis ! Que l'épée fonde sur son bras et sur son œil droit ! Que son bras se dessèche, et que son œil droit s'éteigne !» (Zacharie 11.17)

 

En rapprochant ce passage de la prophétie de Zacharie de celui de Jean dans l'Apocalypse, l'on se rend compte que, pendant la guerre qu'il fit à la nation sainte et à son Chef, celui qui incarne la bête et qui fut soutenu par les puissances de ce monde eut une attaque qui le laissa comme mort.

 

En vérité, c'est cette attaque qui est ainsi décrite par Zacharie. C'est la blessure de l'épée envoyée contre lui par l'ÉTERNEL. Il en eut l'un de ses bras certainement paralysé et l'œil droit éteint, mort. Une sorte d'hémiplégie peut-être. Mais, la bête fut guérie de sa blessure. (Apocalypse 13.3)

 

La question est : a-t-on pu faire disparaitre toutes les séquelles de cette attaque ? Rien n'est moins sûr. Car, si la prophétie est aussi précise sur la partie du corps atteinte, c'est que l'ÉTERNEL veut que le monde reconnaisse cet homme par cette blessure.

 

Remarquons que pour le bras, il n'y a aucun moyen, sauf supputations, de savoir lequel fut atteint, mais pour l'œil, aucun doute, c'est le droit qui fut atteint et éteint.

 

L'on pourrait se demander pourquoi le SEIGNEUR ne précise-t-Il pas, comme pour l'œil, lequel des deux bras sécha. - L'explication est toute simple, si l'on retient que les informations dans la prophétie sont données pour être utilisées à reconnaitre le berger vaurien qui est la bête et l'antéchrist.

 

Certainement, pour l'ÉTERNEL, sachant que les séquelles de l'attaque sur le bras disparaitraient avec sa guérison, dire lequel fut atteint n'aurait servi à rien. C'est une information qui se serait avérée inutile pour l'identifier, vu qu'il est peu probable que ses médecins et son entourage la révèle et qu'il aurait été impossible pour l'œil commun de constater le dessèchement du bras guéri.

 

En revanche, si pour l'œil le SEIGNEUR révèle avec précision lequel fut touché, il est à parier que cet organe conservera jusqu'à l'extermination de la bête la trace de l'épée. Parole de l'ÉTERNEL.

 

C'est pourquoi sur celui sur lequel porteront les soupçons d'être le berger vaurien, la bête et l'antéchrist, il faudra rechercher au moins ce signe : l'œil droit mort. C'est là la marque de l'ÉTERNEL des armées sur le fils de la perdition.

 

Au début de sa guerre contre la Côte d'Ivoire, Ouattara n'a-t-il pas eu une attaque qui fit courir le bruit de sa mort ?Observez-le ! En plus de tout ce qui l'identifie comme le berger vaurien, cet homme ne présente-il pas l'œil droit visiblement malade ?

 

La prophétie de Zacharie sur le berger vaurien a offert l'opportunité de faire la revue de presque tous les textes qui décrivent l'adversaire de l'Oint de DIEU. Le portrait, tant  moral que physique du berger vaurien, qui est la bête et l'antéchrist, fait par l'ÉTERNEL n'est-il pas conforme à celui du mercenaire de la communauté dite internationale trônant à Abidjan ?

Que chacun juge et avise. Que ceux qui veulent balayer du revers de la main les évidences, sous le prétexte qu'Israël ne saurait être un peuple noir, le fassent. Mais, que personne ne dise : «Je ne savais pas».

 

Car : «Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et qui se croient intelligents !» a dit le SEIGNEUR DIEU. (Esaïe 5.21)

 

Ne méprisez rien de ce qui vous est annoncé. Examinez toutes choses, c'est à cela que doivent servir l'érudition et l'intelligence. Que votre grande intelligence ne vous conduise pas à la fosse ! Mais plutôt qu'elle vous aide à comprendre et à ramener un plus grand nombre à notre Père à tous, Celui qui a fait toutes choses.

 

Que DIEU, l'ÉTERNEL veille sur ceux qui le craignent et qu'Il les sauve au jour de la détresse par le sang de celui qui s'est offert en sacrifice pour nos péchés et qui, venu avec son nom nouveau, attend de paraitre dans toute sa gloire quand le SEIGNEUR aura fait de tous ses ennemis son marchepied.

 

Que la grâce vous soit accordée par celui qui vient au nom du SEIGNEUR.

Amen ! Amen ! Amen !

             

                                                                                                           A NEBELE Sanseu Epiphanie



11/04/2014
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