LGESTSEIGNEUR

La petite corne de Daniel 8 : le faux prophète

                                            La petite corne, roi de France [1-2-3]


Selon Jean, dans ses Révélations, le temps marqué pour la fin, est de «quarante-deux mois» (Apocalypse 13.5). Durée que confirme Daniel : «un temps, des temps, et la moitié d'un temps» (Daniel 7.25 et 12.7). C'est-à-dire exactement trois ans et six mois. Au cours de cette période déterminée pour la fin des temps, trois personnalités particulières sur la terre s'en prendront à la nation des Saints de DIEU. Il s'agit du dragon (encore appelé Satan ou le Diable- Apocalypse ), du faux prophète et de la bête (Apocalypse 16.13). Daniel relatant la même fin des temps que Jean, ces trois personnalités, qui sont des acteurs clés de ce moment, ressortent forcement dans ses visions. L'analyse du portrait de la petite corne de la seconde vision de Daniel (chapitre 7) nous a permis de tracer le profil du dragon et de nettement identifier qui est cet homme qui incarne Satan dans ce monde. La personnalité qui incarne l'autre petite corne dans ce chapitre 8 de Daniel, est la deuxième de ce groupe de trois personnes liguées contre le peuple de DIEU à la fin des temps. Elle est autre que la petite corne du chapitre 7. C'est pourquoi, pour faire la différence avec celle-là, nous appellerons cette dernière, et à juste titre d'ailleurs, comme nous le découvrirons, «la toute petite corne», pour paraphraser la TOB. Ici, comme pour l'analyse pour découvrir qui incarne la petite corne du chapitre 7, nous éviterons autant que possible de citer les protagonistes.

Cependant, même s'ils ne sont pas nommés, l'objectif est qu'à partir des indices donnés par les prophéties, les contemporains des évènements et des acteurs mis en scènes dans ces chapitres puissent les identifier formellement. Car, ce qui est relaté à travers ces versets est très exactement ce qui doit se passer dans le monde et plus particulièrement dans le royaume destiné à accueillir le Christ, au temps de la fin. Temps de la fin, derniers temps pour voir disparaitre ce monde dominé par le mensonge, l'injustice et la tyrannie de ceux qui se sont faits les grands et les maitres d'ici bas. Encore une fois, ce temps est prévu pour durer quarante deux mois, dès le moment où commence la dernière tribulation que doit vivre le peuple des Saints de DIEU. Oppression infligée par la petite corne du chapitre 7 qui est le dragon ou Satan (Apocalypse), chef de la plus puissante des nations du monde [4], par l'intermédiaire du faux prophète et surtout par le truchement de celui qu'il aura imposé, par le mensonge et l'injustice, sur la nation des Saints, selon ce que disait l'apôtre Paul : «L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers» (2 Thessalonicien 2.9). En attendant de découvrir le troisième personnage (la bête), identifier la toute petite corne du chapitre 8, deuxième personnage (le faux prophète), dans le même monde et la même période que la petite corne du chapitre 7 (le dragon), n'est-ce pas là une preuve de plus que la terre est engagée dans les temps de la fin ?


  •  La toute petite corne du chapitre 8

 

8.8 Le bouc devint très puissant; mais lorsqu'il fut puissant, sa grande corne se brisa. Quatre grandes cornes s'élevèrent pour la remplacer, aux quatre vents des cieux. 8.9 De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays. 8.10 Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula. 8.11 Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu de son sanctuaire. 8.12 L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises.

TOB : «Le Bouc grandit énormément ; mais tandis qu'il était en pleine vigueur, la grande corne fut brisée, et à la place s'élevèrent quatre cornes remarquables aux quatre vents du ciel. De l'une d'elles sortit une corne toute petite qui grandit tant et plus vers le midi, vers l'orient, et vers le pays magnifique. Elle grandit jusqu'à l'Armée du ciel, elle fit tombée par terre une partie de cette Armée et des étoiles, qu'elle piétina. Elle grandit jusqu'au Prince de cette Armée, lui enleva le sacrifice perpétuel et bouleversa les fondations de son sanctuaire. L'armée fut livrée en plus du sacrifice perpétuel avec perversité. La Corne jeta la Vérité par terre, et dans ce qu'elle entreprit, elle réussit» (Daniel 8.8-12).

 

Explication

8.23 A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. 8.24 Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force; il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints. 8.25 A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le Chef des chefs; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main.

Version TOB : «Au terme de leur règne, quand les pervers auront mis le comble à leurs perversités, il s'élèvera un roi impudent et expert en astuces. Sa puissance ira croissant mais non pas par sa propre force ; il opérera des destructions prodigieuses et réussira dans ce qu'il entreprendra ; il détruira des puissants, c'est-à-dire le peuple des Saints. Et à cause de son habileté, il assurera le succès de ses tromperies ; il se grandira dans son cœur et en pleine paix, détruira une multitude ; il s'élèvera contre le Prince des princes, mais il sera brisé sans l'intervention d'aucune main.» (Daniel 8.23-25)

 

-          La toute petite corne, roi de l'un des quatre empires coloniaux

 

8.8 Le bouc devint très puissant; mais lorsqu'il fut puissant, sa grande corne se brisa. Quatre grandes cornes s'élevèrent pour la remplacer, aux quatre vents des cieux. 8.9 De l'une d'elles sortit une toute petite corne

 

Le bouc, c'est l'Empire d'Alexandre le Grand [2]. Sa grande corne qui se brisa marque la mort d'Alexandre. 

Les quatre grandes cornes qui s'élevèrent aux quatre vents des cieux, ce sont les quatre grands empires coloniaux (Portugal, Espagne, France, Angleterre) qui couvrirent de leur expansionnisme la terre entière [3-5].

Il est très important de savoir que ces quatre nations constituent les quatre grandes cornes. Car, c'est de l'une de ces quatre nations que sortira l'homme qui incarnera la toute petite corne, selon ce qui est écrit : «De l'une d'elles sortit une corne toute petite ».


Avec cette première précision, l'on peut situer géographiquement la partie de la terre où doit apparaitre «la toute petite corne» du chapitre 8. C'est en Europe et nulle part ailleurs sur la terre que l'on verra apparaitre cet homme. Mais, pas n'importe où en Europe. Car, quatre nations seulement en Europe sont susceptibles d'être la patrie de cet homme destiné à opprimer les Saints de DIEU au temps de la fin. Il s'agit des ex-puissances coloniales que sont : l'Espagne, le Portugal, la France et la Grande Bretagne.

C'est un énorme bond pour qui recherche un homme aujourd'hui dans ce monde. Car cette précision permet d'éliminer des milliards d'individus de la liste des suspects et surtout de ne concentrer les recherches que sur une zone bien précise de la terre.

 

Or, ce n'est pas tout. Avec l'explication que donne l'ange Gabriel de la vision, l'on apprend que la toute petite corne est "roi". En effet, «Il s'élèvera un roi…» annonce la Parole. C'est qu'il s'agit, pour les temps actuels (ou pour plus tard) et en fonction du régime politique en place dans chacune de ces nations, d'un roi, d'un Président ou d'un Premier Ministre. Autrement dit la toute petite corne serait l'autorité suprême de la nation où elle apparaitra. Ce qui restreint à six, les personnes susceptibles d'être la toute petite corne. Soient : les quatre hommes (présidents ou chef de gouvernement) des quatre nations, qui constituent les quatre cornes, auxquels s'ajouteraient le roi d'Espagne et la reine d'Angleterre.

 

Mais, si l'on considère la rhétorique biblique, le mot "corne" tel qu'utilisé signifie la puissance et la capacité de nuisance ou de destruction. Il est employé pour désigner une nation ou une organisation puissante et sa tête, c'est-à-dire son chef (Daniel 7.7 ; Apocalypse 12.3). Quand il est utilisé pour une personne (Daniel 7.8), ce mot désigne celui qui détient effectivement la réalité du pouvoir au sommet d'une nation, à l'exemple de la petite corne du chapitre 7. Il s'impose alors, aujourd'hui tout au moins, d'exclure le roi d'Espagne et la reine d'Angleterre de la liste des personnalités susceptibles d'incarner la toute petite corne.

En effet, ceux-ci (la reine d'Angleterre et le roi d'Espagne) n'assurent que des fonctions honorifiques à la tête de leur royaume respectif ; le pouvoir réel, la puissance qui justifie qu'une personne soit désignée par ce mot «corne», étant aux mains des Premiers Ministres respectifs de ces deux nations. Toute chose qui élimine le roi et la reine et limite à, seulement quatre personnalités, notre champ d'investigation.

 

Il s'agira donc, au temps de la fin de trouver lequel des présidents ou premiers ministres de ces quatre nations (Portugal, Espagne, France, Grande Bretagne) ex-puissances coloniales, sera la toute petite corne destinée à fouler au pied le peuple des Saints de DIEU et à s'élever contre le Chef des chefs qui est le chef de la nation des Saints.

 

Ceci, c'est quand nous n'envisageons la fin de ce monde que pour loin dans l'avenir. Mais qu'en est-il du temps présent ? Car, il n'est pas exclu que tout s'arrête maintenant.      

A cet effet, c'est-à-dire si nous considérons les temps actuels comme le temps de la fin, au moins deux de ces quatre nations peuvent être objectivement écartées des "suspectes". Car il est très difficile d'imaginer le Portugal et l'Espagne actuels, vu leurs rapports avec les autres nations du monde et leur poids sur la scène internationale, être capables d'une oppression ou d'une agression telle que décrite, sur un autre peuple.

En outre, le Portugal et l'Espagne n'ont pas la mainmise sur les organisations mondiales qui sont les structures modernes pour brimer et pour assujettir les peuples. Car, que ce soit à l'ONU (siège permanent) ou au G7, de toutes les quatre puissances coloniales, ce ne sont que la France et la Grande Bretagne qui figurent encore parmi les nations qui comptent pour orienter le monde et pour le soumettre. La France reste même le pays qui désigne le patron du FMI.

C'est pourquoi même si nous gardons l'œil sur toutes, la configuration du monde telle que nous la subissons nous autorise à ne concentrer nos recherches et notre vigilance que sur ces deux autres nations que sont la France et l'Angleterre qui ont conservé, plus que les uns, les rapports du temps de leur puissance coloniale avec leurs ex-colonies. Le Commonwealth et les Sommets Franco-africains ne restent-ils pas la face visible de ces icebergs géants ?

 

Quoi qu'il soit, si nous considérons que nous avons amorcé les trois ans et demi prévus pour la fin du monde, ce sont les faits et rien que les faits qui nous mèneront à découvrir laquelle de ces nations doit engendrer la toute petite corne. Les trois autres nations s'élimineront d'elles-mêmes selon que leurs dirigeants ne seront pas les auteurs des actes incriminés dans les prophéties annonçant la fin.

Et comme nous sommes tous contemporains de ce temps-ci et des faits qui s'y déroulent, c'est à chacun de voir lequel des souverains de ces quatre nations s'est illustré, ou s'illustrera, selon les indications données par la Parole de DIEU livrée par les prophètes.

 

Laissons-nous donc guider par les Écritures et gageons que la foison d'indices pour découvrir la toute petite corne ne nous laissera pas longtemps dans la confusion.

 

-          Elle s'agrandit vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays.

 

«De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays. (Daniel 8.9)

 

Cette précision énumère les régions de la terre où sévira la toute petite corne, au temps de la fin : «le midi», «l'orient» et «le plus beau des pays». Rappelons que le midi signifie le sud.

 

De toute évidence, le point de repère d'où le SEIGNEUR indique par la vision ces différents endroits est la partie de l'Europe où doit apparaitre la petite corne. Autrement dit, quand la Parole indique «vers le midi», «vers l'orient» et «vers le plus beau des pays» (ou le pays magnifique), celui qui parle se situe géographiquement du côté des quatre nations, puissances coloniales, pour indiquer les différents lieux vers lesquels la toute petite corne s'agrandira.

 

Or, si l'on se place de ce côté-là, c'est-à-dire à l'intérieur de ces nations (Espagne, Portugal, France, Grande Bretagne) d'où doit sortir la toute petite corne, le seul midi possible habité est incontestablement l'Afrique. Et cela saute aux yeux, que l'on regarde les cartes ou pas. Car, mis à part le continent africain, il n'existe aucune terre au sud de cet ensemble de pays européens.

L'Afrique est donc le midi vers lequel doit grandir la toute petite corne qu'est ce Président ou Premier ministre sorti de l'une de ces quatre nations occidentales au temps de la fin.

Par ailleurs, de cette même position c'est-à-dire de la partie de l'Europe où sont ces quatre nations, l'orient, désigne certainement l'Est que nous avons toujours connu, c'est-à-dire l'Asie.

L'Afrique et l'Asie ce sont là, clairement identifiés, les deux orientations précises sur la terre, vers lesquelles l'on pourra observer la toute petite corne agir.

 

Le troisième lieu mentionné n'est pas localisé. Il s'agit du «plus beau des pays» ou du «Pays magnifique» selon la TOB ; c'est-à-dire le pays des Saints de DIEU. C'est le pays où doit apparaitre le Messie. Aucune indication géographique pour le retrouver. Le plus beau des pays est-il du midi (Afrique) ou de l'orient (Asie) ? Où alors, est-il d'un autre lieu que de ces deux continents ? - Rien n'est dit. Ce n'est donc pas à nous d'inventer une localisation sur la base de ce que nous croyons savoir. A ce stade de l'analyse le mystère ne devrait-il pas demeurer jusqu'à ce que, sans équivoque, la Parole nous départage ?

 

Une certitude cependant : le Christ et son peuple ne sont ni du Portugal, ni de l'Espagne encore moins de la France et de la Grande Bretagne, vu que la petite corne, qui attaque le peuple des Saints, sort de l'une de ces quatre nations pour grandir vers eux.  Et, légitimement l'on  peut extrapoler pour dire que sont exclus aussi pour être le peuple de DIEU, tous les peuples qui se réclament de la même origine (civilisation ou culture) que ces quatre nations et que le SEIGNEUR appelle avec Jérémie, Babylone ou les fils de Nabuchodonosor.

Quoi qu'il en soit tout s'éclaircira au fil de l'analyse. Pour l'heure, comprenons ce que nous disent les Écritures.

 

Et, la Parole nous dit ceci : «Elle (la toute petite corne) s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays».

Que comprendre par l'expression «elle s'agrandit (ou grandit) vers …» ?

Est-ce pour signifier des relations d'amitié que ce roi développerait avec les pays du midi et de l'orient ? Où est-ce de l'agressivité dont il fera montre à l'égard de ces peuples ?

 

Il n'est pas exclu que cette expression évoque la qualité des relations que ce roi entretiendrait soit avec des rois ou présidents, soit avec des pays ces deux continents que sont l'Afrique (du midi) et l'Asie (l'orient).

 

Mais il est surtout à considérer une autre acception de cette expression. Car en vérité, ce qui semble son sens réel nous est révélé, quand l'on considère les rapports de la petite corne avec la nation des Saints.

 

En effet, à l'analyse, l'on se rend compte qu'elle (la petite corne) ne fait pas que grandir vers ces lieux désignés. Lorsqu'elle y parvient, que fait-elle ? – Jugez : «Elle grandit jusqu'à l'Armée du ciel, elle fit tombée par terre une partie de cette Armée et des étoiles, qu'elle piétina. Elle grandit jusqu'au Prince de cette Armée, lui enleva le sacrifice perpétuel et bouleversa les fondations de son sanctuaire».

Quand elle grandit vers un lieu, le lexique (faire tomber, piétiner, enlever, bouleverser) utilisé pour décrire ses actions est sans équivoque. Les verbes traduisent l'agressivité, la destruction, le ravage. C'est que, c'est là l'un des objectifs de cet homme, si ce n'est le seul : la destruction des nations. Et c'est ce que font remarquer et dénoncent les Écritures.

 

Il s'agira donc de rechercher parmi les chefs de ces nations, lequel s'élèvera, nouera accessoirement des amitiés avec des souverains en Afrique et en Asie d'une part et d'autre part détruira des vies dans des nations de ces deux continents. Car il est écrit : «Il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement» (Daniel 8.25).

 

La question est : Y a-t-il aujourd'hui, ou y a-t-il eu ces deux dernières années un homme à la tête de l'une de ces nations, qui aurait fait périr beaucoup d'hommes en Afrique et en Asie ? – La réponse est oui, incontestablement.

Et, fort heureusement, pour nous éviter toute polémique, un seul pays, depuis ces deux dernières années, s'illustre sur ce terrain. Car, même si l'on peut imaginer que c'est de concert que les Occidentaux conçoivent leur plan de destruction des nations, il est indéniable qu'un seul en Europe se porte en avant pour réaliser le projet depuis 2011, c'est la France. C'est cette nation seule qui a ouvertement attaqué et fait périr des hommes en grand nombre en Afrique (Côte d'Ivoire, Libye) et en Asie (Syrie).

 

A partir de cette précision sur le lieu et la nature des relations ou interventions de la petite corne, il n'est objectivement plus opportun de continuer à soupçonner les trois autres nations (Portugal, Espagne, Grande Bretagne), vu qu'aucune d'elles ne s'est rendue coupable ouvertement d'agressions aussi destructrices que les décrivent les Écritures, envers des nations d'Afrique et d'Asie, ces deux dernières années.

 

C'est donc en France et en France seule que nous devons chercher la toute petite corne si le monde devait finir maintenant.

 

Alors, lequel des deux derniers présidents français pourrait-il être la toute petite corne si tout devait prendre fin maintenant ?

En épluchant les pays qui ont subi le courroux de la France ces dernières années, certainement que cela nous y aidera.

En Afrique (le midi), l'on peut citer la Libye, la Côte d'Ivoire et le Mali où l'on meurt aujourd'hui encore des actions initiée par un certain président français.

En effet, qui d'autre que ce chef de l'État français, qui régna de 2007 à 2012, arma et soutint les rebelles insurgés en Libye avant de se décider lui-même à bombarder le pays, exterminant et livrant les populations au désordre ? En Côte d'Ivoire, qui est à l'origine de la crise postélectorale, sinon celui qui prit sur lui d'imposer sur le pays le roi que lui et les siens voulaient ? Qui fit mitrailler et bombarder les populations qui s'opposaient à sa volonté dans ce pays ? En un seul jour, par son armée et celle des nations unies, ne fit-il pas exécuter des milliers d'hommes massés devant la Résidence officielle du président de la Côte d'Ivoire ? Qui peut dire que ce que vit le Mali aujourd'hui n'est pas la conséquence du chaos initié en Libye ?

 

En Asie (l'orient), la Syrie ne voit-elle pas mourir ses enfants encore aujourd'hui à cause de l'initiative de certains pays occidentaux d'y placer à la tête des hommes de leur choix ? Un certain président français, le même qui sévissait en Afrique, ne fut-il pas là aussi en première ligne pour entretenir le chaos et semer les dépouilles ?

 

Quand on fait le compte sur ces deux dernières années, le seul chef d'État français que l'on peut accuser d'avoir fait périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement c'est celui qui régna de 2007 à 2012. Et il est aussi clair que c'est dans le midi (Afrique) et en Orient qu'il se livra à cette forfaiture.

 

Un seul répond au signalement énoncé. Toutefois, cela ne saurait suffire à l'identifier complètement à la toute petite corne. Vérifions donc par le portrait qu'en fait notre SEIGNEUR.

 

-          Une corne toute petite

 

Cette corne qui sortit est toute petite. C'est la version TOB qui nous donne cette information. En effet, il est écrit : «De l'une d'elles (des quatre cornes) sortit une corne toute petite…» (TOB). Telle est la précision que nous apporte la prophétie sur cet homme qui devra être à la tête de l'État français promis à l'oppression du peuple des Saints au temps de la fin. 

Remarquons qu'à la différence de la petite corne du chapitre 7, cette fois-ci, la Parole a cru bon de préciser que c'est une toute petite corne. L'adverbe (toute) n'est certainement pas employé au hasard. Il renforce l'idée que, cette fois, la corne est davantage plus petite que la normale. Serait-ce à la taille de l'homme qui incarnera cette corne que fait allusion cet emploi ? Dans ce cas, serait-ce en comparaison à la taille de la petite corne du chapitre 7 ? Celui qui incarnera la toute petite corne décrite dans ce chapitre 8 serait-il très petit ? Ou a-t-on fait une erreur dans la traduction pour la version TOB ? Précisons que ce n'est pas la seule version qui mentionne ce détail.

Quoi qu'il en soit ce sera à chacun de voir si cette version contredit la réalité.

 

Pour l'heure, si la fin devait intervenir maintenant, jugeons : le chef de l'État français qui sema les morts en 2011 en Afrique (le midi), et en Syrie (orient) est-il très petit ou pas ? Est-il objectif que l'on ajoutât cet adverbe pour marquer sa taille ? Une chose est sûre, comparé à celui qui incarne la petite corne du chapitre 7, il n'y aucun doute, on peut dire de celui-là qu'il est tout petit. C'est pourquoi nous retiendront pour le désigner, cette expression : «la toute petite corne» qui plus est nous permet de faire la différence d'avec celle du chapitre 7.

 

Que dit la prophétie du portrait moral de cet homme ?

 

-          Un roi impudent et artificieux

 

«(…) Il s'élèvera un roi impudent et artificieux» ou «(...) Il s'élèvera un roi impudent et expert en astuces.» (Daniel 8.23).

 

Les astuces, ce sont les mensonges. Ce sont les montages pour tromper le monde et faire accepter les choses les plus iniques. Les astuces pour un chef d'État ce sont les manipulations de l'opinion dont celui-ci fait usage pour arriver à ses fins. C'est donc que cet homme, à la tête de cette nation serait un menteur, un fourbe qui userait de perfidies et d'hypocrisies dans la conduite des affaires de sa nation et dans ses rapports avec les nations du monde. Et comme c'est un expert, c'est qu'il connut beaucoup de réussite dans cette entreprise comme nous prévient la Parole qui dit : «A cause de son habileté, il assurera le succès de ses tromperies».  

 

Et cette attitude sera visible de tous, au point que cela soit une caractéristique de lui mondialement connue et reconnue. Autrement dit, chacun dans le monde, pourvu qu'il ouvre les yeux, le reconnaitra à sa description. Car, si la Parole met l'accent sur ces points pour nous le désigner, c'est que ce sont des comportements de lui qui s'afficheront aux yeux de tous.

Mais en plus d'être fourbe, les Écritures disent de ce chef de l'État français qu'il est impudent, c'est-à-dire insolent, arrogant et éhonté.

 

Alors, si nous devions faire une annonce à ce stade de notre analyse, elle devra certainement être libellée comme suit : «Recherche Président français : tout petit homme, arrogant, mesquin, expert en mensonges et en tromperies, ayant causé des milliers de morts en Afrique et en Orient».

 

La question est : y a-t-il  eu, ces deux dernières années jusqu'à maintenant, un Président français ouvertement fourbe, expert en tromperies, arrogant et insolent dont les intrigues ont fait périr de nombreuses personnes en Afrique et en Orient ? – Oui.

 

Si cela vous semble déjà lointain, pour les astuces et tromperies, souvenez-vous les nombreuses "affaires" que le quinquennat 2007-2012 a laissé après lui en France. Souvenez-vous des déclarations du fils Kadhafi. Souvenez-vous de ces affaires qui défraient encore la chronique. Aujourd'hui, en dehors de toutes les destructions massives de vies et de biens dont il est l'auteur à travers diverses nations, pas moins de quatre «affaires» de malversation l'environnent, en attendant certainement de le poursuivre. De simples rumeurs peut-être ? Et toutes ces affaires d'argent où sont cités ses collaborateurs les plus proches ? - Rien ne l'implique directement argueront ceux qui sont prêts à justifier l'inqualifiable.

 

Mais, justement, que l'on n'ait rien pour le confondre réellement, alors que tous voient, cela n'est-il pas la preuve que cet homme est habile à tricher ? Rappelez-vous ce que dit la Parole : cet homme est «un … expert en astuces» (TOB). Alors, si DIEU Lui-même trouve cet homme expert dans ses manœuvres, n'est-ce pas qu'il serait difficile aux hommes de le prendre en faute ?

Mais, seul DIEU est fort, c'est pourquoi, il révèle en son temps les choses les plus cachées. Aussi, cet homme sera-t-il éclaboussé afin que le monde voie  et juge réellement qui il est.

Tenez, aux dernières nouvelles, il aurait été mis en examen par la justice de son pays pour une affaire d'abus de faiblesse. Ce qui n'est rien moins qu'une extorsion crapuleuse et éhontée au détriment d'une personne jugée ne (pas) plus être complètement en possession de toutes ses facultés. N'est-ce pas quand même fort pour un – fraichement - ex-président d'une si grande République ?

 

Sur le volet arrogance et insolence, souvenez-vous du discours de Dakar, souvenez vous le ton qu'il utilise contre les chefs d'État africains. Maintenant que les langues se délient, on apprend même qu'il aurait menacé de "descendre" leur avion si des chefs d'État africains avaient tenté une médiation auprès de Kadhafi pour éviter ce qui se révèle aujourd'hui comme une barbarie gratuite contre cet homme et sa nation. Que l'on se rappelle le ton qu'il utilise contre un autre chef d'État qu'il voulait voir partir du pouvoir d'Abidjan pour hisser son ami sur le trône.

Mais, peut-être trouverez-vous cela normal, car il ne s'adressait là, pour vous, qu'à un homme rejeté, selon vos standards, par toute la communauté internationale (?). Rappelez-vous alors son air hautain face à son adversaire politique pendant les débats télévisés des présidentielles 2012 qui l'emportèrent. Rappelez-vous avant cela, comment il dit qu'il devait nettoyer les banlieues de son pays. Revoyez-le et rappelez-vous.

 

Cet homme n'a-t-il pas usé de beaucoup de faussetés et de tromperies dans l'exercice du pouvoir d'État ? Comment se fait-il alors que ses bureaux aient été perquisitionnés quelques mois seulement après sa chute ? Comment se fait-il qu'il est maille à partir avec la justice de son pays pour tant d'affaires ?

 

Ne réussissait-il pas dans ses ruses ? N'a-t-il pas réussi par deux fois à détourner à sa guise des résolutions de l'ONU pour détruire des populations, démettre deux chefs d'État et même en faire assassiner un sans qu'aucune voix qui compte sur cette planète ne s'élève pour le condamner ?

 

Encore une fois, il ne s'agit pas de chercher de vaines justifications aux actes de qui que ce soit. Nous sommes tous contemporains de cet homme et de ses actes. Qu'il ait eu tout le droit de son côté, qu'il ait eu toute la puissance pour lui ou qu'il ait été déclaré président mondial, les seules questions auxquelles l'on nous demande de répondre ici sont : Cet homme dans l'exercice de ses fonctions, était-il arrogant ? A-t-il fait usage de tromperies avec habileté ? Que notre conscience nous guide.

 

Mais tout cela reste encore bien subjectif pour certains. Car, nous n'usons certainement pas des mêmes valeurs pour juger de l'arrogance et de l'insolence des propos ou du comportement d'autrui. Continuons donc. Peut-être serons-nous d'accord quand nous aurons fait le tour des précisions énoncées par les Écriture.

 

-          Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force

 

Cet élément de précision nous apprend que la force, la puissance et l'autorité dont doit faire usage la toute petite corne ne proviennent pas (que) d'elle. C'est que ce président français aura besoin d'un tiers, plus puissant peut-être, qui l'aidera à arriver à ses fins. Car dit la Parole : «Sa puissance s'accroitra mais non pas par sa propre force». Ce qui est tout à fait logique au regard de la configuration que devra présenter le monde au temps de la fin.

En effet, n'oublions pas que la toute petite corne sort d'un des quatre royaumes remarquables aux quatre vents du ciel. C'est-à-dire de l'un des quatre empires coloniaux dont les Écritures mêmes disent qu'ils seraient à la fin de leur domination. Or, à cette domination de ces quatre nations qui est la troisième sur terre, doit succéder une autre, la quatrième et dernière, très puissante, le royaume de fer aux dix cornes [4a-4b] que dirigera à la fin des temps, la petite corne du chapitre 7. Ce royaume de fer, regroupera en son sein des nations d'Europe dont celle de la toute petite corne, la France. N'est-ce pas de cet appui dont disposera la petite corne pour accroitre sa puissance ? Or, dans la réalité nous savons que le royaume de fer, c'est-à-dire l'animal à dit cornes, c'est le G7 et ses trois organisations à sa solde que sont l'ONU, le FMI et l'OTAN que dirige le chef des États-Unis. C'est certainement donc à l'appui de ce dernier et à celui de ses différents alliés auxquels fait allusion la Parole.   

 

Ce que nous aurons à constater c'est que  la toute petite corne, c'est-à-dire le Chef de l'État français désigné comme tel, au temps de la fin, serait aux yeux de tous, très entreprenant. La terre entière sera témoin d'un déploiement de puissance de sa part à la tête de son pays contre des nations en Afrique et en d'Asie. Mais, comme le dit la Parole, tout ce qu'il fera, il ne le doit pas qu'à sa seule puissance. Car il sera aussi connu de tous que c'est avec le soutien, certainement, de nations ou d'organisations puissantes qu'il réussira ses exploits.

 

Commençons dans notre environnement immédiat par cette interrogation : Depuis ces dernières années, a-t-il existé un tel président en France ? – La réponse est oui.

Celui qui occupa l'Élysée de 2007 à 2012 et qui fit détruire des vies dans le midi, en Afrique (Côte d'Ivoire, Libye…) et en Orient (Syrie) fut partout épaulé par les États-Unis d'Amérique, l'ONU, l'UE et par l'OTAN. D'ailleurs aujourd'hui, ce n'est plus une révélation d'affirmer que cet homme, dans sa politique agressive de destruction, travaillait plus pour les USA que pour la France.

 

Cet homme aurait-il réussi, seul avec sa nation, tous ses forfaits ? Les États-Unis et d'autres ne pesèrent-ils pas de tout leur poids à toutes les étapes pour faire réussir les coups de cet homme ? Que chacun juge.

 

En Côte d'Ivoire, que l'on se rappelle la dénonciation faite par Laurent GBAGBO. Il disait en substance : «C'est l'ambassadeur des États-Unis et celui de la France qui sont allés chercher le président de la CEI pour l'emmener annoncer les résultats en faveur de mon adversaire à l'hôtel du Golf, quartier général de ce dernier». Ce ne fut jamais démenti.

En outre, il y a la plus grande forfaiture jamais réalisée aussi ouvertement : Entrainer l'ONU à s'engager aussi impudiquement à combattre, c'est-à-dire à assassiner pour une partie dans un conflit où cette organisation est sensée être l'arbitre. La France est-elle seule responsable de l'engagement des forces onusiennes, forces pour la paix, dans le conflit armé aux côtés de l'un des belligérants ? Quelqu'un sur cette planète peut-il soutenir cela ? N'a-t-elle pas agi pour tous ses alliés de l'Union Européenne et de l'OTAN et avec leur appui ? Rappelez-vous les sanctions de l'UE début 2011 contre le pouvoir en place à Abidjan et contre le peuple de ce pays, en ce temps là. Sans l'accord de la toute puissante Amérique et l'appui de ses alliés de l'OTAN, voire de l'UE, une chose aussi grave aurait-elle pu se faire ? Il eut même l'iniquité des iniquités : un embargo sur les médicaments.

Pensez-vous qu'un président autre que celui des États-Unis peut intimer l'ordre à l'ONU de s'engager et à prendre partie aussi scandaleusement dans un tel conflit au risque de la crédibilité de cette organisation ?

 

En Libye, est-il besoin de rappeler que c'est pour l'OTAN, c'est-à-dire pour les américains que la France attaqua ce pays pour le détruire ? L'on apprit même que les pilotes américains volèrent avec les chasseurs français. Or, afin qu'il ne subsiste aucun doute, DIEU fit que les responsables eux-mêmes ne nous cachèrent rien. En effet, c'est main dans la main que les deux chefs (France et USA) célébrèrent leur victoire sur les nations ciblées le 14 juillet 2011, évoquant la collaboration des pilotes de leurs deux nations pour détruire la Libye.

 

Que dire du cas Syrien ? Dans ce pays et dans tous ces conflits où s'engagea ce chef de l'État français d'alors, l'aurait-il fait sans l'aval et l'apport des américains et de celui qui règne sur le monde à partir de la Maison blanche ?

Dans son propre pays en France, tant il affichait ouvertement être le chargé de mission de la Maison blanche, ne l'a-t-on pas affublé du pseudonyme «…l'Américain» ?

D'ailleurs, qui peut aujourd'hui en toute honnêteté dire que les deux derniers chefs de l'État français, sur le plan de cette politique d'agression et de destruction des nations à laquelle ils se livrent, ne travaillent pas plus pour la réalisation d'un calendrier concocté par les services américains que pour la France ?

 

Il est clair et indiscutable que ce président français eut le soutien et l'apport de la toute puissante Amérique et de son président, de l'ONU, de l'OTAN et de l'UE dans sa croisade meurtrière contre les pays du midi (l'Afrique) et de l'orient (l'Asie). Ce fut même toute la machine destructrice du royaume de fer (G7 – ONU, FMI, OTAN) qui fut mise à sa disposition. C'est donc à juste titre que parlant de cet homme, la Parole précise que : «Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force».

 

Voyons de plus près et dans le détail ce qu'elle fit, cette toute petite corne, afin de continuer à vérifier si cela correspond à ce que fit ce président français dans la réalité.

 

-          Il fera d'incroyables ravages

 

Cet autre élément de précision concerne, l'évaluation de l'ampleur des dégâts auxquels se livrera la toute petite corne dans les nations où elle sévira.  

Les dommages que cet homme causera seront au-delà du simple dégât. Ce sont des destructions, des ravages, c'est-à-dire, comme le disent les dictionnaires, «des dégâts matériels très importants occasionnés avec violence et rapidité». Ce qui suppose l'usage d'une force ou d'une puissance disproportionnée par rapport à la cible.

En outre, ce sont des destructions qui dépassent tout entendement. C'est ce qui explique que la Parole les qualifie d'incroyables ou de prodigieuses (selon la version). Des hyperboles qui traduisent le caractère inouï, inattendu et ahurissant des destructions attribuées à cet homme contre des nations en Afrique (le midi) et en Orient. Et tout cela, nous devrons le constater au temps de la fin.

 

Maintenant, regardons autour de nous. A-t-on déjà constaté un chef de l'État français se livrer à de tels ravages en Afrique et en Orient ces dernières années ? – La réponse est sans ambages, oui.

Et l'année 2011 fut témoin de toutes ces calamités.

Encore une fois, entendons-nous bien. Il ne s'agit pas d'approuver, ou pas, ces actes ou encore moins d'exprimer sa sympathie, ou non, pour les victimes de ces actes. Ce que l'on demande c'est de savoir si oui ou non un chef de l'État français peut-être accusé de s'être livré à des actes de destruction sur ces deux continents. Ces destructions peuvent-elles être qualifiées d'ahurissantes ?

 

C'est à chacun de voir. En temps de paix, c'est-à-dire sans déclaration de guerre, un État X lève une coalition (l'OTAN), prend soin d'imposer par des résolutions (?) à l'ONU qu'un État Y ne se défende pas, c'est-à-dire lui lie les mains, puis le bombarde, en détruit les infrastructures, les palais, cause des milliers de morts et en fait assassiner le Chef. Si ce n'est pas ahurissant cela, il faudra expliquer les motifs qui rendent un tel acte acceptable. La démocratie peut-être ? – Alors, que l'on nous explique qui en est le garant sur terre et qui l'a désigné comme tel.

La Libye était-elle le dernier bastion de la dictature sur terre ? Quel droit la France a-t-elle sur la Libye pour qu'un chef de l'État français prenne la tête d'une action punitive aussi radicale et dévastatrice sur ce pays ? Et même si par extraordinaire un texte le permettait, ce droit empêche-t-il de voir l'ignominie et la barbarie dans cet acte ?

 

Par ailleurs, un État qui s'est constitué force d'interposition, qui entraine la seule organisation mondialement connue pour le maintien de la paix dans une belligérance aux côtés d'un des protagonistes dans un conflit, n'est-ce pas ahurissant ? Autrement dit, que la France, qui n'est pas en guerre contre la nation ivoirienne, décide l'ONU à s'engager avec elle dans la destruction de la ville et le meurtre de milliers d'ivoiriens, est-ce concevable ? N'est-ce pas une chose incroyable ? Qu'un Président français décide d'assassiner un autre chef d'État pour régler un contentieux électoral, n'est-ce pas ahurissant comme solution ? Que l'armée d'une puissance telle que la France largue des bombes sur des civils et sur la résidence présidentielle d'une nation telle que la Côte d'Ivoire, en temps de paix, c'est-à-dire sans que ces deux pays soient en guerre et sans déclaration de guerre, causant des milliers de victimes et des ruines sans nom, n'est-ce pas ahurissant ? Y a-t-il un précédent similaire à cela pour que nous n'en soyons pas choqués ? Avait-on épuisé tous les recours pour une solution pacifique ? Supposons qu'il n'y ait eu aucune autre solution, cela rend-il pour autant moins horrible cette furie ?

 

C'est à chacun de constater les effets des actions de cet homme et de son équipe en Syrie. Cet homme est-il étranger à ce qui s'y passe ?  Maintenant, ce n'est plus un secret pour personne, tout le monde sait que tout ce que vit ce peuple a été suscité par les occidentaux. Cela ne dépasse-t-il pas tout entendement que, du jour au lendemain, un peuple qui vivait en paix bascule dans une telle violence et subisse de tels ravages ? Y a-t-il une raison qui rende acceptable qu'un homme avec ses amis créent, alimentent et maintiennent de telles souffrances et de tels ravages dans une nation ?

 

Remarquez que parmi toutes ces trois nations victimes, il n'y en a pas une seule qui ait agressé la France. Il n'y en a pas une seule qui aurait même osé s'attaquer à la France. Et pourtant, remarquez la virulence qui était celle de cet homme. Constatez la violence qu'il manifesta à l'égard de ces peuples et de leurs autorités.

 

Ce ne sont là que des interrogations toutes personnelles. Chacun peut y aller de sa formulation, les réorienter à son avantage pour justifier ces actes et se donner bonne conscience. Mais que cela ne nous éloigne pas des questions que soulève ce passage du verset 24 : «(…) Il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises».

 

Les destructions causées par cet homme d'État français en Côte d'Ivoire, en Libye et en Syrie peuvent-elles être rangées dans l'ordre des ravages ? Ces destructions peuvent-elles être qualifiées d'incroyables et d'inouïes ?  – La réponse est oui et oui.

Cet homme a-t-il réussi dans ses entreprises ? – Quand il décida d'y aller, il réussit dans ce qu'il entreprit. Il réussit en Côte d'Ivoire et il réussit en Libye. Alors, oui, cet homme connut la réussite dans ce qu'il entreprit contre ces deux nations. Et pas seulement d'ailleurs, car il réussit aussi dans toutes les manipulations qui le hissèrent au sommet.

Il n'eut pas le temps de s'occuper du cas syrien jusqu'à son terme, mais tous voient dans ce pays les ravages du mensonge et du soutien à la destruction. D'ailleurs, ses successeurs ne s'occupent-ils pas de terminer l'œuvre ?  

 

Pour l'heure faisons le point.

Un président français, arrogant et qu'on peut qualifier d'expert en astuces, s'en est-il pris à des nations du midi (Afrique) et de l'orient ? – Oui

Cet homme a-t-il été l'auteur de destructions prodigieuses ? – Sans aucun doute.   

A-t-il réussi dans ce qu'il entreprit ? – Absolument. 

Alors continuons avec ce que disent les Écritures des actions de cet homme, spécifiquement dans la nation des Saints.


-          Il s'élèvera contre le Chef des chefs

 

Cette précision, contenue dans l'explication de l'ange, résume deux actes de la corne dans la vision de Daniel, à savoir «Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux» et «Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée». Étant entendu que pour l'ange Gabriel qui explique le songe, une attaque contre le chef ne peut se faire sans une agression contre son peuple et vice versa. Cette précision est donc un résumé des versets 10 et 11 : «Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula. Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée…» 

Le Chef des chefs, pour l'instant, retenons que c'est le Chef du peuple des Saints de DIEU, c'est le Prince du royaume des descendants de Jacob. Il est même plus que cela. Il est le Chef de tous les chefs. Nous y reviendrons.

L'Armée des cieux dans ce texte c'est le peuple des Saints du Très Haut.

 

Ce qui nous est signifié ici, c'est que parmi les nations auxquelles il s'en prendra, le président de la France, pendant la période de la fin, s'attaquera à un peuple particulier sur la terre. C'est la nation des Saints de DIEU. Cet homme en fera mourir le peuple (l'armée) dont des enfants et des nourrissons (les étoiles).

Toujours dans cette nation des Saints, cet homme s'en prendra ouvertement au roi de ce peuple, à celui que la Parole présente comme «le Chef des chefs». Contre cette nation des Saints et son Chef, ce président français usera des plus grands mensonges et des calomnies les plus perfides et sordides. Contre ce peuple et son Chef, la vérité sera travestie, malmenée, occultée selon qu'il est écrit : «la corne jeta la vérité par terre». Car la toute petite corne qui, rappelons le, est un expert en astuces c'est-à-dire en tromperies, fera triompher le mensonge pour vaincre le peuple des Saints et son Chef. Et, c'est parce que cet homme triomphe avec ses pratiques mensongères que la Parole précise qu'il réussit dans ses entreprises.

 

Comment cela se fera-il ? – Comme avec la petite corne du chapitre 7, c'est avec le livre des Révélations (Apocalypse) qu'il faut aller chercher le complément de réponse. Car, il faut l'avoir à l'esprit, il n'y a pas deux fins du monde. Daniel et Jean relatent, sous deux approches différentes, la même histoire, celle de la fin des temps. Ces deux récits se complètent. Ce que Daniel ne dit pas, Jean le dit et vice versa. Et, s'agissant de la nation des Saints de DIEU, les personnages, qui agissent contre elle, sont les mêmes pour les deux textes. Si donc nous voulons arriver à une bonne compréhension de ce qui se passe (ou se passera), il s'impose de recouper ces deux récits.

 

En fait, ce chef de l'État français en question, qui est la toute petite corne et le roi impudent expert en astuces, c'est «le faux prophète» du livre des révélations faites à Jean (Apocalypse 19.20). Il est ainsi appelé parce qu'adepte du mensonge et du faux, il ne s'arrête devant aucune perfidie pour arriver à ses fins. Jean, autant que Daniel, fait mention de destructions prodigieuses dont cet homme est l'auteur.

Car celui-là, au contraire de la petite corne du chapitre 7 (Satan et le Diable -Apocalypse 12.9 ; 13.2), engagera directement des forces, c'est-à-dire des armées, pour combattre les Saints et les détruire. En tout cas c'est ce que suggère la Parole avec Daniel : «Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula» ou encore : «Il fera d'incroyables ravages, (…), il détruira les puissants et le peuple des Saints (…). Il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement». Comment un président d'une nation fait-il périr le peuple d'une autre nation si ce n'est par une armée ?

 

Ce que confirme Jean avec cette Parole : «Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon» (Apocalypse 13.11).

La terre, dans ce verset, c'est le territoire qu'occupe la nation des Saints. La bête «monte» de la terre parce qu'elle y était déjà installée mais camouflée en habit d'agneau. 

Les deux cornes ce sont deux forces qui sont, ici, deux armées qui seront installées sur le territoire des Saints (la terre) et qui seront activée en temps voulu. Mais, ce sont deux armées qui sont, à l'origine, des forces de paix. C'est pourquoi la Parole précise que les deux cornes sont semblables à celles d'un agneau. Elles devraient donc être inoffensives. Or elles furent détournées de leur objectif initial pour devenir menaçantes et agressives (elles parlaient comme un dragon). Elles ne s'arrêtèrent pas là d'ailleurs. Elles agirent comme des dragons. Elles exterminèrent même une partie du peuple des Saints. Et la méthode utilisée pour tuer est même précisée. En effet, il est écrit qu'elle (la bête à deux cornes) faisait «descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes». C'est-à-dire que ces deux armées tirèrent de là-haut sur les populations. Toute chose pour dire que des avions ou des hélicoptères furent (ou seront) utilisés pour les destructions et les ravages.

 

Mais, qui fit de cette bête qui avait l'air d'un agneau un dragon ? Autrement dit, qui détourna ces forces de leur objectif de paix pour opérer ces destructions prodigieuses ? Car, n'est-il pas vrai qu'une armée combat toujours sous commandement et sous les ordres d'un chef suprême ? Qui donc utilisa ces deux forces, c'est-à-dire ces deux armées de paix (comme un  agneau) pour la destruction du peuple des Saints ? – Cet homme est explicitement désigné par le SEIGNEUR, c'est «le faux prophète». C'est ce que nous dit le verset 20 du chapitre 19 du livre des Révélations : «Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image (Apocalypse 19.20).

Il apparait clairement que les prodiges qui avaient été faits devant la bête par les deux cornes aux versets 11 à 15 du chapitre 13 du livre des Révélations, sont attribués au faux prophète. Si les actes des deux armées sont attribués au faux prophète, n'est-ce pas parce que c'est sous son commandement qu'elles agirent ?

 

En fait, ce verset 20 du livre des Révélations nous explique que le faux prophète est l'autorité qui manœuvra, pour faire des deux forces de paix (agneau), des forces meurtrières (dragon). Les prodiges donc que firent ces deux forces devant la bête pour séduire les habitants de la terre, c'est-à-dire les habitants de la nation des Saints, sont ceux du faux prophète. C'est dire que ce sont sous les ordres de cet homme que ces deux armées (cornes) agirent pour réaliser les prodiges devant la bête. C'est pourquoi la parole les lui attribue.

Mais comment manœuvrer pour transformer des forces de paix en forces meurtrières si ce n'est par des astuces et des tromperies ? Pratiques dans lesquelles excelle le roi impudent et expert en astuces, la toute petite corne, c'est-à-dire le Président français désigné comme tel.

 

Comme on le voit, la toute petite corne, ce roi impudent et expert en astuces du livre de Daniel qui fit les destructions prodigieuses et le faux prophète du livre des Révélations de Jean sont le même et unique personnage.

Celui qu'il faudra chercher est donc un président de la République française qui, outre toutes les précisions déjà soulignées, s'attaquera sur cette terre à un peuple et à son Chef. Il les vaincra en utilisant perfidement pour les détruire, deux armées qui furent préalablement positionnées dans leur nation comme forces de paix. Il les combattra, avec l'appui de l'homme le plus puissant de la terre, c'est-à-dire le Président des États-Unis qui est la petite corne du chapitre 7.

 

En outre, par ce recoupement, Jean nous apprend également que le faux prophète qui est la toute petite corne combat les Saints en présence d'un homme (la bête) (Révélation 13.12). C'est pour cet homme (la bête), que ce président français fera faire les destructions prodigieuses contre la nation des Saints et contre celui qui est le Chef des chefs. Ce qui fait que si nous arrivons à reconnaitre l'homme qui incarne la toute petite corne et le faux prophète, nous identifions de fait celui qui est la bête pour qui il fera les destructions prodigieuses dans cette nation. 

 

Les questions qui nous interpellent aujourd'hui sont :

- Ces deux dernières années, un président français s'est-il attaqué, sur cette planète, à un peuple et à son Chef, semant au passage de nombreux morts ? – Sans conteste oui.

En 2011 la Côte d'Ivoire, la Libye, et la Syrie furent livrées aux ravages. Dans ces trois nations les peuples furent attaqués et nombreux périrent. Les enfants, des nouveaux nés aussi furent tués. Les Chef de ces peuples connurent des fortunes diverses. L'un fut tué, l'autre échappa à l'assassinat mais on l'enleva du pouvoir pour l'enfermer, le déporter pour le garder enfermé. Le dernier, malmené, résiste encore aujourd'hui à la tête de son pays grâce à des puissances qui le soutiennent. Tous les trois n'ont-ils pas été la cible du courroux du même président français ?

- Dans l'une de ses attaques, ce chef de l'État français utilisa-t-il deux armées (deux cornes) connues pour être des forces de paix (agneau) ? – Absolument.

Dans l'un de ces pays, deux forces mondialement connues furent constituées et reconnues à l'ONU, c'est-à-dire par toutes les nations du monde, pour servir de forces de paix. Ces forces constituées pour servir de forces d'interposition pour la paix (des agneaux) ne furent-elles pas détournées pour servirent à la destruction comme des dragons ?

- Y a-t-il eu fourberie ? Peut-on accuser quelqu'un d'avoir manœuvré pour ce but ? – Oui.

Et, ce n'est un secret pour personne que ce fut l'œuvre du locataire de l'Élysée de la période 2007-2012. Il est celui qui instrumentalisa l'ONU avec l'aide de ses alliés pour arriver à ce résultat. Les forces de l'ONU (onuci) et les forces françaises (licorne), préalablement positionnées dans cette nation africaine (la terre) comme forces de paix, furent employées pour combattre et détruire des vies.

- Ce Président français, a-t-il causé ces ravages contre cette nation et contre son chef en présence d'un autre homme (Révélation 13.12 et 14) ? – Sans aucun doute.

Pendant que les bombes tonnaient et que descendait le déluge de feu ordonné par ce président français, sur les hommes et sur plusieurs autres cibles dans la ville, était retranché dans un hôtel, un homme qui avait lancé l'assaut sur le pays avec ses forces rebelles.

- Ce président français a-t-il combattu ce peuple et son chef pour cet homme devant qui il fit faire ces destructions et ces ravages ? – Que chacun juge. Les forces du président français prirent le chef de la nation combattue, le remirent aux fidèles et à l'armée de l'homme retranché dans son hôtel. Ce dernier fut par la suite intronisé roi devant ce président français à la place du chef du peuple vaincu. Que faut-il pour prouver que c'est pour cet homme que ce peuple et son chef furent combattus par ce président français ?

 

Comme on le voit, tous les indices analysés jusque-là convergent vers une seule et unique personne, à savoir celui qui occupa les fonctions de Président de la République française jusqu'en 2012. Cela suffit-il à faire de cet homme la toute petite corne ?

 

En tout cas, seules deux choses pourraient nous faire refuser cette conclusion.

La première est la théorie de la coïncidence ou du hasard. Et pour cela, il faudra que nous nous convainquions que le monde n'est pas à sa fin, que tout ce que nous venons d'analyser n'est que pure coïncidence, et que le portrait de la petite corne du chapitre 7 qui identifie le chef de la Maison blanche est aussi l'effet d'une coïncidence et d'un concours de circonstances. Ce qui est bien mince comme bouée. Car, c'est choisir de faire confiance à une hypothétique intuition plutôt qu'à un raisonnement cohérent. Ce qui est à la limite ridicule dans ce siècle, où tous se croient intelligents et animés d'un esprit cartésien.

Nous accusions la chose religieuse d'être du domaine de l'irrationnel ; DIEU nous donne d'analyser sa Parole, d'interpréter et de conclure par nous-mêmes selon ce que nous avons de logique toute froide et c'est là que nous nous déroberions ?

 

La deuxième chose ce sont nos présupposés. Il faudra en effet que nous nous arcboutions sur ce que nous pensons être nos connaissances (?) et nos présupposés qui nous établissent comme dogme, à ne jamais transgresser, que le peuple des Saints de DIEU est de race blanche et que sa seule terre jamais promise par l'ÉTERNEL est cette terre de Palestine où sont confinés ceux qui se sont décrétés comme tel. Ce serait là en tout cas la seule issue (?) pour certains au grand désespoir desquels les conclusions de cette analyse tendent à révéler un peuple autre que celui que l'on nous a toujours désigné comme celui de DIEU. Or, les faits et les indices sont catégoriques et formelles, ils ne désignent ni deux continents, ni deux peuples pour que nous parlions de confusion.

 

Quel peuple est le bourreau et contre quel peuple s'acharne-t-on ? Sur quel continent se passent les faits ?

Tous les arguments et indices confirment-ils que l'ex-président français est bien la petite corne du chapitre 8 de Daniel ?  

Avec ce qui suit jugez-en vous-mêmes et répondez à toutes les interrogations.

 

-          Elle (…) lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu de son sanctuaire

 

Ce sont là deux autres précisions que donne la vision. Œuvres de la toute petite corne contre le royaume des Saints de DIEU, ces deux actes précis font partie des iniquités et infamies que doit commettre ce président français dans sa guerre contre le Chef du royaume des Saints. Ces deux faits sont symboliquement très importants et lourds de conséquences. La première forfaiture enlève au Chef des Saints et certainement à son peuple le moyen de subsistance ; pendant que l'autre lui supprime le toit au dessus de la tête.

 

Tout ce qui est arrivé rappelons-le, c'est pour punir ce peuple de son infidélité et de ses péchés envers son DIEU. C'est ce qui est dit : «L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché». Mais, outre la signification que nous donnent les Écritures, si le SEIGNEUR a permis ces deux actes précis contre cette nation, c'est pour distinguer particulièrement le peuple des Saints de tous les autres peuples qui devaient subir cet homme afin que nous sachions le reconnaitre.      

 

L'importance de ces actes se situe par ailleurs dans le fait que c'est à partir de chacun de ces deux évènements que le SEIGNEUR indique les délais, c'est à dire le temps qui reste avant la fin de toute chose. Identifier donc clairement ces deux moments dans les agissements de ce président français permettrait, à coup sûr, d'avoir les repères nécessaires pour déterminer quand exactement prendra fin la persécution de ce peuple si nous nous en tenons à la Parole qui prophétise : «Deux mille trois cents soirs et matins; puis le sanctuaire sera purifié» (Daniel 8.14).

 

Voici ce que nous révèle la Parole : «Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu de son sanctuaire». 

 

Le sacrifice c'est ce que nous prélevons sur nos biens pour l'offrir en don. Cela peut être particulièrement à une institution (l'église, l'État, …) ; ou au roi, autrement dit à l'État, si nous considérons les régimes modernes. A ce titre, c'est-à-dire dans nos États modernes, ce sacrifice est dit perpétuel au sens où il est institué comme prélèvement obligatoire et permanent sur la population ou une frange de la population pour enrichir les trésors du royaume ou de l'État. Or, que peuvent être des prélèvements obligatoires et permanents dans une nation moderne si ce ne sont les taxes et les impôts ?

Ce que l'on doit comprendre ici, c'est que ce roi impudent et expert en astuces qu'est ce président français, trouva (ou trouvera) le moyen d'empêcher le prélèvement des taxes et des impôts dans la nation des Saints pendant la période de sa guerre contre ce royaume, dans le dessein certainement de priver ce chef et son peuple de ressources afin de les asphyxier financièrement.

 

A ce stade, les questions qui s'imposent sont : L'une des nations victimes des destructions prodigieuses du président français (2007-2012) a-t-elle subi une telle tentative d'asphyxie financière ? Si oui, cet homme est-il responsable de cette désobéissance fiscale ? – Qui a suivi les agissements de cet homme et ce que vécurent ces peuples n'a besoin de commentaires. La réponse est oui.

Ce président français ordonna dès décembre 2010, que les entreprises ne payent plus aucune taxe dans l'une des nations qu'il attaqua, et cela tant que serait maintenu au pouvoir le chef de ce peuple qu'il contestait. Cette mesure fut relayée auprès des opérateurs économiques du pays par le président de la chambre de commerce de cette époque, allié de celui pour qui combattaient la France et son président. Ce fut la première phase de la guerre économique livrée à cette nation.

Remarquons que les entreprises les plus significatives opérant sur le sol de cette nation sont françaises, européennes ou américaines. C'est-à-dire acquises à la cause de ce chef français qui d'ailleurs, on l'a vu, travaillait pour la réussite d'un plan commun à toutes ces nations occidentales. Ce fut suivi.

 

Après cela, la Parole ajoute que la toute petite corne renversa le lieu du sanctuaire du Chef des chefs, ou selon la TOB, il «bouleversa les fondements de son sanctuaire».

Le sanctuaire c'est le lieu où se retire DIEU. C'est sa maison, son lieu d'habitation. Le Prince de la nation des Saints, celui qui est le Chef des chefs est l'oint de DIEU sur qui reposera l'Esprit de DIEU pour régner sur le peuple et sur la terre. C'est lui le Messie. C'est à ce titre qu'à son lieu d'habitation est donné le nom de Sanctuaire. Cet édifice, le lieu d'habitation du Prince du royaume des Saints, la toute petite corne le renversera c'est-à-dire le bouleversera. Autrement dit cette corne détruira la maison du Chef des chefs.

 

La question est : Est-ce vrai qu'un président français détruisit la résidence du chef d'un peuple à qui il fit au préalable supprimer le versement des taxes ? – Sans hésitation, la réponse est, ici encore, oui!

Le chef de l'État français de cette époque (2007-2012) lança une guerre économique dont le tout premier pan était l'asphyxie financière qui consistait à la suppression du prélèvement des taxes (sacrifice perpétuel). Ensuite, il procéda à la fermeture des banques françaises. Puis il se rua de toute sa puissance sur cette nation. Il massacra les populations massées pour contester ses œuvres par des tirs aériens, selon ce qui est écrit : «Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes» (Révélation 13.13) Puis, il s'employa par des bombardements des jours entiers à détruire la Résidence (le sanctuaire) où était retranché le chef de cette nation. Pendant plusieurs jours, ce fut un déluge de feu qui s'abattit sur cette bâtisse jusqu'à sa ruine complète.

Est-il besoin de préciser qu'une seule nation sur terre fut victime simultanément de ces deux actes de la part de ce président français ? Il ne saurait donc y avoir de confusion possible si nous devions la retrouver, cette nation.

 

Alors, tout étant clair, y a-t-il une seule précision énoncée par les Écritures, dans ce chapitre 8 de Daniel, à laquelle ne répond pas celui qui occupa les fonctions de chef de la République française de 2007 à 2012 ? Que la vérité guide chacun de nous.

 

Quoi qu'il en soit, c'est là tel que se présente celui qui incarne la toute petite corne du chapitre 8 de Daniel.  

 

Quelle est alors la nation des Saints ? Et, qui est Celui que les Écritures désignent comme le Chef des chefs ou le Prince des princes, si nous sommes au temps de la fin ?

 

A l'évidence, l'analyse des Écritures nous donne des réponses formelles.

La nation des Saints, le pays magnifique que le SEIGNEUR ne nous situe ni dans le Midi (Afrique) ni en Orient (Asie) au verset 9, nous laissant le découvrir par nous mêmes progressivement au fil de l'analyse, est cette nation à qui, le président français, en plus de faire mourir le peuple, enlèvera le sacrifice perpétuel, c'est-à-dire leur supprima le paiement des taxes et détruisit le palais de son chef. Cette nation, si vous l'avez reconnue avec les précisions pour découvrir la toute petite corne, qu'elle soit sur la lune ou sur Mars, c'est elle et elle seule la nation des Saints de DIEU. Et celui qui sera à la tête de cette nation que combattra le chef de l'État français identifié comme la toute petite corne, c'est celui-là le Chef des chefs. C'est celui que DIEU aura oint comme Messie pour diriger Son peuple et le monde à venir. C'est le fils que doit enfanter la «femme enveloppée du soleil» (Révélation 12.1) et «qui doit paitre toutes les nations avec une verge de fer» (Révélation 12.5). C'est pourquoi il est le Chef des chefs.

 

Je sais que quand bien même l'évidence se révèle crue à vos yeux, il sera difficile à certains de l'accepter. Pas parce que l'analyse désigne cet ex-président français comme la petite corne dans ce chapitre, mais pour ce que cette conclusion implique.

C'est sûr, c'est le statut de peuple de DIEU qui se révèle être celui de la nation victime des agressions de ce chef de l'État français qu'il vous sera difficile de concevoir. C'est le Statut de Chef des chefs qui se révèle être celui de l'homme le plus calomnié de la terre, celui qui est rejeté de tous, qui vous sera inacceptable.

 

Les questions fusent : Pourquoi ce n'est pas l'Israël que nous connaissions que désignent les conclusions de l'analyse ? Israël peut-il être Africain et Noir ? Est-il possible que la nation des Saints, le peuple du DIEU de l'Univers soit Noir ? N'y a-t-il pas erreur dans l'interprétation des Textes ? Est-ce possible que l'homme qui se trouve au ban de toute la communauté internationale soit l'élu de DIEU ? C'est scandaleux s'exclameront, haineux, certains.

 

Or c'est là le piège : la haine. Ce qui arrivera, c'est que ces mauvais sentiments qui sont le moteur de ce monde perdent tous ceux qui s'y adonnent. Tous les haineux, tous les méchants, tous les menteurs périront. Tous ceux qui ne jugent pas selon la vérité et qui condamnent par ouï-dire seront retranchés. Car a dit le SEIGNEUR : «Les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra» (Daniel 12.10).

 

Ce que je propose, c'est que vous remontiez depuis le début du chapitre et de l'analyse pour rechercher l'erreur. Si vous en trouvez une de fondamentale, accrochez-vous-y et ne croyez pas ce qui se révèle à vous à travers ces pages. Si au contraire vous n'en trouvez pas et que malgré tout vous décidez de ne pas y croire parce que c'est inadmissible que les choses ne soient pas comme vous les connaissiez, libre à vous.

Sachez-le, que vous croyiez ou pas ce n'est plus un problème pour moi. Mon devoir à moi c'est d'exposer les faits devant les yeux de chacun sur ce qui se passe. Ma faute aurait été de ne pas obéir à l'injonction de faire découvrir ce que je vois. Dès que j'ai parlé, je ne réponds plus de rien. Car, il ne m'a pas été imposé d'obliger qui que ce soit à voir ce qu'il se refuse de voir ou à entendre ce qu'il se refuse d'entendre.

 

Ce que je veux dire, c'est que tout est laissé à la discrétion de chacun. Seule la mesure de l'esprit de vérité qui est en chacun de nous, permettra à chacun d'accepter, ou pas, ce qui nous est révélé. Rien n'est loin de notre portée ou de notre entendement. C'est pourquoi de nombreuses précisions, sur le personnage de la petite corne et sur ses actes ont été révélées afin que nous découvrions avec exactitude l'homme qui doit sortir de l'une des quatre nations occidentales qui dominèrent le monde. Celui qui doit s'employer à faire le mal contre la nation des Saints et son Chef au temps de la fin ne se confond avec personne d'autre sur la terre. Car une seule personne à travers les âges est prévue pour correspondre à la fois à toutes les précisons énoncées par la prophétie. Or l'analyse de la vision ne laisse aucun doute possible sur l'identité de la personne décrite.

 

Allez à la source et vous découvrirez par vous-mêmes.

Quand la sentinelle crie pour annoncer le danger, la tête de celui qui nous prévient importe peu. Et quand la sirène retentit ce n'est pas la mélodie qui est importante, mais le sens de l'alerte. Ceux qui connaissent le sens du signal commencent alors à prendre les dispositions pour échapper à la calamité qui est annoncée, pendant que les autres accourent voir pourquoi l'alerte, d'où elle provient et si elle est justifiée.

Quoi qu'il en soit ce sont là les éclairages que nous donnent les Textes afin que chacun sache et que nul ne soit surpris. Pour ceux qui veulent aller à la source, c'est ce qui est conseillé. Soyez habités par un seul souci : la recherche de la vérité. En dehors de cela, si vous êtes sincères, DIEU vous donnera tout le discernement possible pour avancer. S'il nous prévient c'est pour que nous comprenions et que nous soyons sauvés. Seuls les endurcis sont promis à la mort et il y en aura en grand nombre. Un conseil donc pour finir, convertissez-vous, repentez vous et remettez-vous entièrement au SEIGNEUR DIEU Tout Puissant.

 

Mais nous ne nous quitterons pas sans savoir ce que devint ce président français après ses forfaits contre les nations et contre le Chef des chefs.

 

-          Il sera brisé, sans l'effort d'aucune main

 

Ce que nous devons comprendre, c'est que ce qui fut entrepris contre la nation des Saints réussit. Cela, la Parole le dit avec Daniel (il réussira dans ses entreprises). Car il fut programmé, à cause du péché dans la nation, que la bête, c'est-à-dire celui pour qui combattait la toute petite corne, vainquit le peuple des Saints, selon qu'il est écrit : «Il lui fut donné de faire la guerre aux Saints, et de les vaincre» (Révélation 13.7) ou encore «L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché» (Daniel 8.12). C'est pour cette victoire de la bête que le faux prophète, ici la toute petite corne fit la guerre aux Saints et à leur Chef.

Mais après qu'il obtint cette victoire sur le peuple des Saints et contre le Chef des chefs, la Parole annonce la fin de ce président français. Car il est écrit : Il sera brisé, sans l'effort d'aucune main.

C'est dire qu'il perd le pouvoir qui le rendait si puissant.

Mais, qu'on ne s'imagine pas qu'il meurt. Car si Daniel annonce qu'il sera brisé, Jean nous apprend que cet homme reste vivant, en tout cas pour un peu de temps encore. Car après que tout sera fini, c'est cet homme, la toute petite corne qui est le faux prophète, qui sera jeté vivant dans l'étang de feu avec celui qui est la bête pour qui il détruisit les Saints (Révélation 19.20).

Cet homme donc, perd le pouvoir. Mais comme le dit la Parole, «sans l'effort d'aucune main». C'est-à-dire que ce n'est ni par la guerre qu'il mena, ni par la faute de personne. Or nous savons que la France élit sont président au suffrage universel direct. Faut-il croire que ce président français sera vomi par son peuple ?

 

Qu'en est-il de l'ex-président français ? – Après tous ses forfaits, cet homme à la tête de la France, ne perdit-il pas son pouvoir ? Peut-il accuser quelqu'un d'autre que lui-même d'être responsable de sa chute ?

 

Si l'on avait des doutes, un seul regard sur les sondages actuellement dans ce pays devrait nous les enlever complètement. Car ils sont la preuve que c'est une certaine pratique de la politique qu'incarnait cet homme que les électeurs français rejetèrent. Et son remplaçant qui s'est engouffré tête basse dans la même voie, paye cash de n'avoir pas tiré les leçons de la déconvenue de son prédécesseur. Il bat, dit-on, tous les records d'impopularité. Les Français sont très sévères avec ce dernier, car ils ne lui pardonnent certainement pas de les avoir "trahis". Lui qui leur promettait autre chose, ne semble en définitive qu'une pale copie de celui dont ils croyaient s'être débarrassé. Ces sondages montrent que le nouveau président, personnellement, ne jouissait pas auprès des électeurs d'un capital sympathie qui pouvait lui permettre de battre le sortant. Ce scrutin présidentiel 2012 qui prit en France l'allure d'un référendum fut plus le rejet d'un homme que le vote d'un autre. Et, c'est en cela que la chute de celui qui croyait avoir fait le ménage pour se succéder à lui-même est conforme à la parole qui dit : «Il sera brisé sans l'effort d'aucune main». Son assurance d'être reconduit fut brisée, pas parce que son adversaire est plus méritant, mais parce que s'étant rendu odieux à un grand nombre, le peuple ne voulait plus de lui.

 

Et toutes les gesticulations qui sont les siennes depuis qu'il fut défait montrent que le concerné qui avait pris soin d'écarter par des pratiques dignes d'un expert en astuces tous les adversaires jugés dangereux pour lui ne s'attendait pas à une fin si brusque et inattendue selon ses calculs. Il ne doit s'en prendre qu'à lui-même. Ceux qui l'utilisèrent ce ne sont pas eux qui votent.

 

Au terme de ce cheminement, la question qui doit trotter dans votre tête est : Notre monde a-t-il vécu tout ce qui est relaté dans ce chapitre 8 de Daniel ? Si non, oublions tout ceci et vaquons tranquillement à nos occupations. Mais si oui, revoyez toutes les précisions énoncées et recherchez qui est ce chef d'Etat européens qui se cache sous le personnage de la toute petite corne. 

Il n'y a aucun doute que si vous êtes mus par la vérité et qu'aucune haine ne vous lie, un nom et un seul se dégagera à la suite de cette lecture et à la suite de votre propre analyse : inscrivez ce nom.

 

Cet homme, qui incarne la petite corne de ce chapitre 8, est le deuxième personnage sur les trois (Satan, le faux prophète et la bête) prévus contre la nation des Saints au temps de la fin.

 

Mais, lorsque vous l'avez découvert, sachez que la terre est engagée, depuis qu'ils se sont mis à agir contre ce peuple et son Chef, dans les quarante deux mois prévus avant la fin de ce monde voué au mensonge et à l'iniquité. C'est pourquoi d'ailleurs le temps qui nous reste nous est précisé par le SEIGNEUR après leur forfait : «Deux mille trois cents soirs et matins; puis le sanctuaire sera purifié» (Daniel 8.14).

 

Si tu es de ceux qui craignent DIEU, tu es averti. Tu sais ce qu'il te reste à faire. Les Écritures te prescrivent-elles de mépriser l'avertissement ? C'est à toi et à toi seul de voir la conduite à tenir. Sache qu'il ne viendra aucune autre alerte qui ne s'appuie sur ce qui t'est annoncé ici. Ce n'est nullement par orgueil que je te le dis. C'est que désormais, il n'y a plus de temps et les seuls qui soupçonnent ce qui arrive sont du même camp. Ce sont ceux qui n'ont aucun intérêt à ce que le monde sache sur quelle voie ils l'ont engagé. Ne t'attends donc pas à ce que les voix officielles et celles qui comptent embouchent la trompète pour appeler à la prudence et à la sanctification pour attendre la venue du Seigneur.

Chacun de nous a l'intelligence pour appréhender la vérité et le libre choix nous est proposé : La vérité ou le mensonge ? La justice ou l'injustice ? Il est laissé libre à chacun d'aller vers son penchant. Mais sache qu'il y a une rançon au bout de ton choix. C'est pourquoi contre ceux qui se sont abandonnés corps et âme à l'iniquité, l'apôtre Paul disait pour la fin des temps : «Aussi DIEU leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés» (2 Thessaloniciens 2.11-12).

Alors, dans toute chose, les petites comme les grandes, recherchez la vérité et la justice et vous comprendrez et vous serez sauvés.

 

Salut et paix à ceux qui aiment et craignent l'ÉTERNEL notre Père qui est saint. A Lui notre DIEU, le règne, la puissance et la gloire pour l'éternité. Amen ! 

 
  • Les deux mille trois cent soirs et matins [ici]


                                                                             A NEBELE Sanseu Épiphanie



11/04/2013
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