LGESTSEIGNEUR

4- LA 2è ET LA 3è BÊTE, LES FORCES CONTRE LA NATION

LA CRISE IVOIRIENNE: LES ACTEURS EXTÉRIEURS


Les occidentaux ont toujours cherché à nous tourner en ridicule quand nous évoquions la thèse du complot international contre Côte d'Ivoire [1]. Et pourtant que n'a-t-on entendu et vu depuis 2002 et surtout après cette crise dite postélectorale ? L'UEMOA qui, contre toute attente, s'invite elle et la BCEAO, dans un débat politique qui n'opposerait que des nationaux, n'est-ce pas là un complot ? La licorne française et l'ONUCI qui se mettent ensemble pour tuer et installer leur homme que longtemps nous avions dénoncé, n'est-ce pas la preuve du complot international ? L'UE qui en fait son affaire personnelle, publiant bulletins sur bulletins et mise à jour de listes d'ivoiriens pro-GBAGBO sanctionnés, n'est-ce pas la preuve du complot international ? Faut-il mentionner les USA ? [2] Les hommes ont tout dit mais leur voix n'a pu atteindre plus loin que les oreilles de quelques rares personnes encore éprises de justice et d'équité. Mais DIEU Lui, Il entend tous les soupirs et c'est Lui qui vous dénonce.

 

  • La 2ème bête - L'UEMOA

 

(…). Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. La bête que je vis était semblable à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. (…). (Révélation 13.1-2)

 

Parmi les acteurs impliqués dans la crise ivoirienne, l'un des ennemis qui semble s'être juré de détruire la Côte d'Ivoire se trouve être l'UEMOA. Voyant l'instrumentalisation dont elle est l'objet contre ce pays, il est apparu comme un impératif de l'examiner de plus près. Voici ce qui apparait à l'observation de la carte.


L'UEMOA, la 2ème bête

 

La forme de la carte de l'UEMOA à l'exclusion de la CI, évoque une bête, celle qui est décrite dans ce verset 13.2. Elle se dévoile grâce à trois images rendues par trois comparaisons.

«La bête que je vis était semblable à un léopard» : voir carte ci-dessous.

«Ses pieds étaient comme ceux d'un ours» : l'ours a ses pattes trapues. En plus, l'ours a tendance à se tenir sur les pattes postérieures lorsqu'il veut faire peur. Celles-ci sont symbolisées par le Togo et le Bénin sur la carte.

«Sa gueule comme une gueule de lion» : le territoire de la Gambie laisse un vide comme la gueule ouverte d'un lion, image que viennent renforcer la ligne de frontière avec la Guinée-Bissau et la petite excroissance au Sud et les îles qui donnent l'impression d'un prolongement des poils autour de sa gueule.

 

Mais, voyons avec d'autres versets la confirmation de ce qui est avancé et pourquoi est-ce une bête cette organisation.

 

«Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes.» (Révélation 17.3)

 

Ce verset 17.3 est expliqué, en ce qui concerne sa deuxième phrase, par le SEIGNEUR, aux versets 17.9-12. "Les sept têtes", ce sont sept États. "Les dix cornes", ce sont dix personnalités qui ne sont pas des chefs d'État. Ce sont des personnalités à qui l'on délègue des pouvoirs relevant de l'autorité des chefs d'État et d'organisations pour une période donnée et pour une mission précise. Ici en l'occurrence, la durée de cette délégation de pouvoir n'excède pas le temps d'une réunion extraordinaire et la mission est connue : remettre l'autorité relevant des États membres et de l'institution l'UEMOA à Ouattara. L'UEMOA (la bête écarlate), pour une large part est effectivement dans la zone désertique. Mieux, sont siège est à Ouagadougou, dans le désert. C'est l'une des trois terribles entités que l'ennemi s'était donné comme moyen pour nous anéantir afin de maintenir le peuple de Côte d'Ivoire dans l'assujettissement.

Et, afin que nul doute ne subsiste, le SEIGNEUR Lui-même, va plus loin encore dans les explications qu'il donne de la vision. C'est un pédagogue.

 

«17.9 C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. -Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. 17.10 Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. 17.11 Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. 17.12 Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête». (Révélation)

 

Les sept têtes, qui sont sept montagnes, sont les sept pays en dehors de la Côte d'Ivoire qui composent l'UEMOA. La femme assise sur l'UEMOA, c'est l'UE comme nous le verrons. Cette organisation (l'UEMOA) dont fait partie la Côte d'Ivoire, fut en réalité créée contre elle. C'est pourquoi elle est présentée avec sept montagnes c'est-à-dire sept pays au lieu de huit.

 

Elle est instituée juste à la veille de la dévaluation du franc CFA en 1994. Hors, la dévaluation elle-même fut un couteau qu'on planta dans le dos de notre défunt Président qui en refusait de son vivant, catégoriquement l'éventualité. Après sa mort donc, est créée l'UEMOA, instrument de contrôle global et d'hégémonie de la France et de l'UE sur nos économies de la sous-région et surtout sur celle de la Côte d'Ivoire qui en détiendrait, au dire des spécialistes, près de 40% des transactions. Ce contrôle, et le système de fonctionnement mis en place qui profitent à l'UE, font de l'organisation sous régionale, une leste qui plombe considérablement les efforts entrepris au niveau national pour nous sortir du sous-développement et de l'asservissement. Toutes choses qui font de cette organisation, plutôt qu'un instrument de développement, une bête féroce qui dévore toute notre production, tous nos avoirs, à notre détriment.

 

Au demeurant, l'attitude adoptée par tous les autres membres unanimement ligués contre nous pour Ouattara vient confirmer ce sentiment que le projet est conçu depuis ses origines contre la Côte d'Ivoire. Les versets 17.12-13 suivants, des Révélation ne disent pas autre chose : «Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bêteLes dix rois qui n'ont pas de royaumes, c'est la réunion du conseil des ministres de l'UEMOA qui décida de remettre la signature de la Côte d'Ivoire à Ouattara alors même qu'il n'était qu'un opposant contestataire de résultats officiels des élections.

 

Pour plus de précision, la Parole, qui se veut sans équivoque sur certaines tractations dans les ténèbres, ajoute au verset 17.10 «Ce sont aussi sept rois: cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps Et la version TOB dit : «Cinq d'entre eux sont tombés, le sixième règne, le septième n'est pas encore venu, mais quand il viendra, il ne demeurera que peu de temps».

 

Ce verset 17.10, des Révélations (les 11 et 12 également), tout en le conservant imbriqué aux autres, doit être isolé dans une certaine mesure pour être analysé ; d'ailleurs l'avertissement, contenu dans le verset 17.9 précédent, nous invite à des dispositions particulières et à beaucoup de vigilance.

 

Nous savons que dans l'Union, de nombreux chefs d'États se sont succédé à la tête de leurs pays ces dernières années. Ici, il s'agit de trouver un point commun à plusieurs d'entre eux et qui soit en relation avec l'Union.

 

En prenant pour lien la participation à la création de l'UEMOA en 1994, l'on constate que les cinq rois qui sont tombés, ce sont cinq chefs d'État de l'organisation qui ont participé à la naissance de celle-ci et qui ne sont plus au pouvoir. Ce sont : Diouf (Sénégal), Soglo (Bénin), Konaré (Mali), Mahamane Ousmane (Niger) et Eyadema (Togo). Celui qui «existe» et la version TOB, d'ailleurs sans équivoque et pour enlever tout doute, tranche : «le sixième règne». Celui-là, ce sixième qui ne fait pas qu'exister mais qui règne encore, c'est sans aucun doute celui d'entre eux tous qui est encore au pouvoir, c'est Blaise Compaoré du B. Faso. Jusque là, il n'y a pas de problème, la difficulté se trouverait dans l'identification de «l'autre» pour qui, ce verset semble avoir été écrit. En tout cas, la multiplication des indices, dans le même verset, liés à cet «autre», nous incline à le croire.

 

Alors, question : qui est "l'autre'" et pourquoi est-il important de l'identifier particulièrement ? Pour répondre à cette question, il faut avoir les mêmes repères que ceux qui ont servis à identifier les six premiers rois, c'est-à-dire pour cadre de référence temporelle le moment de la création de l'organisation.

 

D'ailleurs il ne peut en être autrement, car «un existe» ou «le sixième règne», c'est sous entendu un existe ou règne encore comme roi. Or ''encore'' insinue une action qui se perpétue mais en référence à un point de départ chronologiquement situé dans un passé qui se trouve ici être celui partagé avec ceux qui sont «tombés». De ce point de vue «l'autre»  se trouve être un septième roi qui aurait pactisé avec les six précités à la création de l'UEMOA contre la Côte d'Ivoire. Cet ''autre'', logiquement, n'a pas de royaume au moment de la création de la 2ème bête. C'est ce qui explique la phrase «l'autre ou le septième n'est pas encore venu», qui veut en réalité dire qu'il n'est pas encore installé comme roi au moment de la création de l'UEMOA. «Et quand il sera venu, il doit rester peu de temps Une information importante qu'il faut mettre en rapport avec le verset 12.12 et les visions des autres prophètes sur la durée de la persécution [25] pour être situé. Dans le livre des Révélations, celui qui vient pour nous persécuter est en effet programmé pour «un peu de temps». C'est celui qui se tint sur le sable de la mer et c'est bien Ouattara la bête qui sort de l'abîme [14-15] et «il va à la perdition» dit la Parole.

 

Ce que ce verset nous révèle en fait, ce n'est pas tant de savoir qui est «l'autre», mais le rôle qui a été le sien dans la création de l'UEMOA. Vous remarquerez que, bien que n'étant pas encore chef d'aucun État en 1994, il est désigné autant que les autres par le titre de «roi» dans les Textes. C'est qu'il a traité d'égal à égal avec ces souverains déjà confirmés qu'étaient Diouf, Compaoré, Eyadema et autres, pour la création de l'Union, du moins pour sa version diabolique dirigée contre la Côte d'Ivoire. N'est-il pas économiste ? – Il n'est pas hasardeux d'affirmer que c'est son équipe et lui qui mirent tous les mécanismes de la bête (la 2ème) en place.

 

En outre, ce verset nous confirme qu'il s'agit bel et bien de l'UEMOA ; car il montre bien qu'à sa création, à l'exclusion du chef de l'État de Côte d'Ivoire d'alors, qui, bien sûr, ne participe pas au complot, il n'y a que six chefs d'État (ceux des «cinq tombés» et celui qui «règne») que complète le septième qui n'était pas encore chef d'un État.

 

Mais plus tard, quand «l'autre», la bête, est effectivement roi (Révélation 17.11), il est précisé qu'elle-même est devenue «un huitième roi», sans ajouter qu'il y a un huitième pays (montagne). Ceci pour rester dans la même logique qui exclut la Côte d'Ivoire de cette bête. La bête est un huitième roi mais «du nombre des sept». C'est-à-dire qu'au moment où Ouattara, la première bête, prend le pouvoir, l'organisation compte huit chefs d'État. Mais qu'il est «du nombre des sept» qui ont participé à la création de la bête en 1994.

 

C'est dire aussi que cette deuxième bête (l'UEMOA), a enregistré une entrée, entre temps, pour compléter le nombre des États qui la constituent à sept et le nombre des chefs d'État (roi) à huit. Il s'agit de la Guinée Bissau qui rejoignit l'UEMOA, en 1996.

 

Ce qu'il faut comprendre c'est que cette organisation, qui en surface, véhicule de nobles objectifs pour le bien être de nos populations, de toutes nos populations, y comprises celles de Côte d'Ivoire, a été conçue sur deux bases. L'une apparente qui inclut la Côte d'Ivoire avec ses autorités à l'époque de sa création. Cette face là, nous a fait croire que nous étions partie prenante d'une organisation régionale d'intégration. En vérité, avant même que nous y soyons associés, un plan diabolique avait été conçu entre les chefs d'État des six nations (Burkina Faso, Sénégal, Togo, Bénin, Mali, Niger) et Ouattara pour ses besoin en temps opportuns. C'est Cette face-là, en réalité la première et la vraie de l'UEMOA, que dénonce le SEIGNEUR, dans ces versets. C'est sa dimension diabolique qui est soulignée par l'appellation ''la bête''. Car pour notre Père, tout ce qui est conçu dans le dos du frère, du voisin pour le perdre est péché diabolique.

 

Cet homme, la première bête, Ouattara, a violé toutes les lois et de la vie et de sa profession. Il a trahi la confiance de tous ceux qui avaient cru qu'il était arrivé sur notre terre pour travailler au bonheur de tous. Mais il a commis un crime tout aussi grave vis-à-vis de sa profession de banquier qu'il dit être. C'est un délit d'initié de la pire espèce dont il s'est rendu coupable. Car toute cette stratégie mise en place à l'UEMOA n'a vu le jour qu'à partir des ses connaissances du fonctionnement de la BCEAO lors de son passage à la tête de cette institution. Il y étudia comment paralyser notre pays financièrement avec l'aide de ses frères et alliés. Mais l'homme est-il à son premier forfait ?

 

  • La 3ème bête - La licorne et les casques bleus de l'ONU

 

Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. (Révélation 13.11-12)

 

Cette troisième bête se laisse découvrir à travers d'abord la description qui en est faite, puis par ses agissements. Remarquez que cette bête-ci monte de la terre au contraire de la deuxième qui, elle, montait de la mer. Cette bête «monte de la terre» parce qu'elle y est déjà implantée. Elle a déjà ses bases dans le pays. C'est donc ici que nous la rechercherons.

 

Il s'agit d'une entité constituée de deux forces (les deux cornes). Mais elles sont «semblables à celles d'un agneau», c'est dire que la 3ème bête a une apparence pacifiste. On la prendrait pour une colombe. Sa force (ses cornes) elle ne devrait pas en user. Telle est l'image, en tous cas, que nous offre la description de cette bête. En revanche, ses actes, nous donnent à voir le contraire de ce que nous laisse percevoir son apparence. Ses déclarations (elle parlait comme un dragon) et son déploiement de puissance et de cruauté (elle opérait de grands prodiges, faisait descendre du feu sur … des hommes) finissent de nous peindre les caractères de la force qui s'illustra aussi bruyamment que cruellement sous nos yeux, pendant cette crise ivoirienne.

 

Les «deux cornes semblables à celles d'un agneau» ce sont les deux forces d'interposition licorne et casques bleus dites forces de paix. En effet, de par la mission officielle qui lui est confiée, la force d'interposition, composée des forces françaises de la licorne et des forces onusiennes, est chargée d'apporter la paix et l'entente. Elle devait agir dans les faits, comme un agneau et jamais ne devait participer à la belligérance. En réalité, que constations nous ?

 

Le commandement de cette force n'a cessé de déclarer, de menacer et d'agir contre la paix. Les responsables de cette bête à deux cornes, que ce soit de Paris par Nicolas Sarkozy ou de New York par Ban Ki Moon et Choï, n'ont ménagé aucun effort pour attaquer, menacer et perturber tout processus de règlement pacifique de ce conflit.

 

Cette force revêtue du manteau de la paix n'a agi que de façon guerrière, «comme un dragon», durant tout ce temps. Car ce sont en vérité deux forces (2 cornes), au service de la guerre de Nicolas S. et d'Obama, remises entre les mains d'Alassane Dramane Ouattara pour la réussite de leur cause commune. Convaincue de son pouvoir et de sa force, elle ne parlait que «comme un dragon». Ce sont donc les déclarations guerrières de ces orgueilleux qui trahissent notre «troisième bête» qui croyait s'être assez bien dissimulée sous un verni de résolutions concoctées dans leurs laboratoires de mensonges pour agir incognito.

 

Voici dévoilés tous nos ennemis. Mais ce n'est pas tout. Le verset 17.3 qui nous a aidés à dévoiler complètement la deuxième bête fait apparaitre "une femme" assise sur cette bête écarlate. Nous allons faire sa connaissance dans le prochain chapitre [5].

 

Que l'ÉTERNEL vous bénisse.

 

 

A. NEBELE Sanseu Épiphanie



06/05/2012
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