21- LA BONNE NOUVELLE
Laurent GBAGBO, est-il l'envoyé de DIEU pour nous sauver de Satan [3] et de la bête [14] ? Telle est la question qui s'est imposée à la suite des différentes analyses. Si oui, alors de quels atouts dispose-il et comment fera-t-il, maintenant qu'il est dans les geôles de l'ennemi ?
Pour répondre à ces questions de manière précise, relisons dans un premier exercice les versets du livre des Révélations que nous rapprocherons des traits de caractères de l'homme, puis voyons comment le discernement que DIEU nous donne peut nous aider à confirmer ou infirmer ce que nous aurons découvert.
«Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen !» (Révélation 1.7)
Il a le peuple avec lui. On ne peut l'envisager sans ce peuple de patriotes qui le soutient. D'ailleurs ce cercle s'est élargi à l'Afrique entière et, depuis peu, au monde entier. Il ira grandissant, je vous le promets. Tout le monde entier sait désormais qui il est. Toute la planète sait à qui l'on fait la guerre et pourquoi. L'ennemi s'est chargé de faire sa publicité. «Et tout œil le verra». «Toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui». Il sera persécuté et des hommes de toutes nationalités souffriront et auront de la peine pour lui à cause de l'injustice qui lui est faite à lui et à son peuple. N'est-ce pas que même les tribus de la terre qui connaissait à peine l'existence de la Côte d'Ivoire et de Laurent GBAGBO commencent à s'interroger ? N'est-ce pas que l'arbitraire dont Laurent GBAGBO, est victime commence à faire des vagues ?
«Et, au milieu des sept chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or sur la poitrine. (Révélation 1.13)
C'est en vérité un homme réel que l'apôtre Jean vit en se retournant. L'expression «fils d'homme» est à rapprocher de l'expression «nombre d'homme» qui nous permet d'identifier le nombre de la bête au verset 13.18. Celui que vit Jean, se présentait comme un homme normal en chair. C'est donc sûr, Jésus Christ ne se présentera pas à nous sous la forme d'un spectre où d'un extra terrestre. C'est un homme comme vous et moi, né d'un homme et d'une femme.
«Ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent, comme s'il eût été embrasé dans une fournaise; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux. 1.16 Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants; et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force.» (Révélation 1.15)
Voici trois grands traits du Seigneur JÉSUS CHRIST. Je voudrais que nous les examinions attentivement.
Celui que vit le prophète, avait une «voix comme le bruit de grandes eaux». C'est une voix forte, qui tonne, et qui fait du bruit ou qui résonne comme les vagues de la mer. Réécoutez mes frères, la voix de notre Prince et dites moi si elle ne fait pas de «vagues». Imaginez ou revoyez-le aux meetings, ou riant aux éclats. Réécoutez les enregistrements, et vous verrez pourquoi cette comparaison est à propos.
Le deuxième trait de caractère que nous dévoile ce verset est relatif à la langue du Seigneur qui parle au prophète. En effet celle-ci se présente sous la forme d'«une épée aiguë, à deux tranchants». Mais, que cela ne nous trouble aucunement. Car s'il s'agit du fils de DIEU, de celui qui revient en tant qu'homme pour régner pour des siècles et des siècles parmi les hommes, il est impossible et impensable que DIEU nous l'envoie avec l'aspect d'un monstre ayant une langue en forme d'épée réelle et tranchante, pouvant servir à découper de la viande ou tout autre objet solide. Cette expression est une métaphore où la langue est désignée par l'épée tandis que l'effet produit quand elle parle, est représenté par les ''deux tranchants''. Toute chose pour dire que sa parole a toujours un double sens. Selon ce qu'on veut en faire, on utilise l'un ou l'autre sens. L'un et l'autre sens peut vous perdre … Ou vous sortir d'affaire. Ce genre de personnes, lorsqu'elles parlent, elles se laissent une marge, une porte de sortie. Quand on les aime, on dit qu'elles sont intelligentes et sages. Quand on les déteste, on dit qu'elles sont fourbes. Sous nos cieux, on dit qu'elles vous «roulent dans la farine». Une appréciation qui permet de cacher qu'on s'est fait avoir par plus intelligent. J'espère que vous suivez mon regard. En réalité ce ne sont ni plus ni moins que des paraboles qui déroutent ses ennemis, qui, pensant l'avoir, se sont chaque fois retrouvés en face d'un obstacle là où ils croyaient avoir tout déblayé pour le piéger.
Le dernier trait, est purement physique. Il décrit l'aspect de son visage. «Son visage était comme le soleil». C'est un visage aux caractéristiques du soleil c'est-à-dire rond, large, gai, et rayonnant.
A la lumière de ces quelques lignes qui présentent une sorte de portrait physique du SEIGNEUR, méditons. Puis, mentalement osons commencer une esquisse de l'image de l'Homme décrit. Esquisse que nous parachèverons certainement en l'observant en action.
«Et l'un des vieillards me dit: Ne pleure point; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. 6.1 Je regardai, quand l'agneau ouvrit un des sept sceaux, et j'entendis l'un des quatre êtres vivants qui disait comme d'une voix de tonnerre: Viens.» (Révélation 5.5)
Ces versets, le 5.5 et surtout ceux du chapitre 6 des Révélations, nous présentent le Seigneur JÉSUS CHRIST en action. La Parole dit : «Le lion de la tribu de Juda (…), a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux». Par la suite, dans le chapitre 6, six sceaux sont ouverts. Ces six sceaux, les premiers de sept, laissent apparaitre six (6) personnages. Ce qui est important ici, et c'est ce qui est souligné, c'est de savoir ce que provoque l'action de l'agneau. Il ouvre un sceau et cela permet chaque fois à un être de sortir (ou une manifestation). Ainsi il ouvrira six sceaux qui libéreront six personnages. Présenté dans ce sens, la chose semble aisée et banale. Mais pour mesurer la portée réelle de l'acte posé, envisageons le contraire. Autrement dit, imaginons qu'au lieu d'ouvrir les sceaux, le SEIGNEUR les garde fermés. Rien ne se serait passé dirons-nous, car la suite des Révélations est apparemment muette concernant ces six hommes. Mais pourquoi alors, le prophète pleurait-il quand on ne trouvait personne pour prendre le livre et ouvrir les sceaux ? - C'est que cet acte était capital pour le déroulement prévu jusqu'à la fin. La ''libération'' de ces êtres était absolument nécessaire pour que puisse s'accomplir le plan de DIEU pour la fin des temps. Et le seul qui ait été trouvé digne, de recevoir le livre et d'ouvrir les sceaux c'est le Seigneur JÉSUS CHRIST, l'agneau de DIEU. Et la Parole précise que «nul dans le ciel, sur la terre ni sous la terre n'avait pouvoir d'ouvrir le livre ni d'y jeter les yeux» (Révélation 5.3) pour dire en un mot que personne à travers l'univers visible (sur terre) et invisible (dans le ciel et sous terre, dans l'espace) ne fut capable de s'approcher du livre à part le SEIGNEUR. Lui seul «a remporter la victoire» pour ouvrir les sceaux.
Maintenant, ouvrons les yeux et voyons bien que dans la phrase : «l'agneau ouvrit un des sept sceaux», l'agneau désigne le SEIGNEUR. Et, c'est lui qui réussit dans les Écritures à ouvrir les sept sceaux, dont les six premiers dévoilent les six personnages (Révélation 6.1-17) que nous avons identifiés comme étant ceux réunis autour de Ouattara au Golf, au chapitre 6 du livre des Révélations. Or dans la réalité ivoirienne c'est-à-dire sur terre, c'est bien LAURENT GBAGBO, qui permit l'entrée en scène de chacun de ces six acteurs.
- Que l'on se rappelle comment le pouvoir échut en 1993 à Henri Konan Bédié (1) à la mort de notre premier Président. On remarquera aussi que c'est suite à la déclaration de L.G. invitant à respecter la Constitution que place lui fut faite. Si cela est difficile à concevoir pour vous, représentez-vous en image l'atmosphère du pays le 7 décembre 1993, et supposez seulement que Laurent GBAGBO ait fait une déclaration ce jour-là, contre l'investiture de Bédié. Je vous laisse imaginer le très probable chaos qu'auraient engendré des propos dans ce sens. Bédié aurait-il pu prendre le pouvoir ce jour-là sans GBAGBO ? Que la vérité et l'honnêteté vous guident. De lui, il est écrit "(...) parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc; une couronne lui fut donnée, ..." (Révélation 6.2). De fait, il tenait effectivement un arc, l'hémicycle de l'assemblée nationale, et le pouvoir (la couronne) lui fut donné sans qu'il ait livré bataille. [6]
- On remarquera que cet inconnu des milieux politiques en CI, qu'était Anaki Kobenan (2) n'y fut admis que grâce à son amitié avec LG et à sa participation, dit-on, à la création du FPI. Sans Laurent GBAGBO, ce monsieur ne serait-il pas demeuré l'illustre anonyme qu'il était ?
Cet homme tient le symbole de la désunion, des dissensions et de la fougue incontrôlée (le cheval roux). C'est lui qui porte le sceau de la division afin que nous restions opposés et que nous nous entretuions les uns les autres. Il "(...) reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre, afin que les hommes s'égorgeassent les uns les autres ..." (Révélation 6.4).
- Il faut savoir que Francis Wodié (3) est connu en politique grâce au regroupement des forces socialistes incarnées par LG.
Pour ces deux hommes (Anaki et Wodié), le même exercice nous permet d'arriver très facilement à la même conclusion. En effet sans les actions politiques de Laurent GBAGBO dans la clandestinité pour amener le pouvoir à autoriser la pluralité (FPI, multipartisme), Anaki aurait-il été connu par des ivoiriens en dehors de son bureau ? Francis Wodié aurait-il été reconnu dans les rues du Plateau et de Yopougon par d'autres personnes que ses étudiants ? Cet dernier qui porte les instruments de la justice (cheval noir = toge noir, et la balance) est cependant celui qui est chargé de faire le lit de l'injustice de la cautionner et de défendre l'iniquité (mais ne fais point de mal à l'huile et au vin) au sommet.
- Albert Mabri Toikeuse (4) fut introduit en politique grâce à l'UDPCI dont la création par Akoto Yao et d'autres fut encouragée par LG. De plus, c'est Laurent GBAGBO qui lui accorda de devenir ministre à la faveur de la répartition des postes à la suite du coup de force manqué de 2002. Celui-là doit sa prospérité à la mort du Général Guéi et à son mutisme sur la mort de ses frères à l'Ouest du pays (le quart de la terre). C'est pour lui qu'il est écrit : " (...) parut un cheval d'une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, ..." (Révélation 6.8). [7]
- Soro Kigbafori Guillaume (5), ex Secrétaire Général de la FESCI a été généré en tant qu'homme public par l'action de L.G. qui suscita la création de ce mouvement estudiantin. Seule la mauvaise foi peut contester cela. Cet homme est responsable de la mort d'innombrables personnes ne partageant pas la même opinion que lui. Ces gens ont été tués (immolés) à cause des idées qu'ils soutenaient. Nombreux sont morts en service. Sous cet homme se cachent de nombreux charniers. Le concernant, la Parole dit: "Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu" (Révélation 6.9).
- Gnamien Konan (6) Voici, il fut un illustre inconnu jusqu'alors. Lui aussi comme les cinq premiers, ne fut introduit que grâce à L.G. qui le nomma à la tête des douanes ivoiriennes après appel à candidature. Chose que le pays n'avait encore jamais pratiqué auparavant. Lui, sait que sans L.G., jamais il n'aurait rêvé qu'en dehors des membres de sa famille, d'autres ivoiriens puisent lui accorder leur suffrage. Celui-la est responsable d'une catastrophe (tremblement de terre), qui causa la mort de nombreux enfants, nouveaux-nés et occasionna d'innombrables fausses couches. Par son acte "les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes" (Révélation 6.13). Les étoiles du ciel qui tombèrent, ce sont les enfants, les tout petits et les embryons qui moururent précocement du fait du déversement des déchets toxiques sur la ville.
Nous remarquons donc que toutes ces six personnes citées, sont arrivées, d'une manière ou d'une autre, sur la scène politique ivoirienne grâce à l'action de Laurent GBAGBO. Cela explique donc l'invitation qui est exprimée par le terme «viens», lorsqu'il ouvre le sceau. C'est lui qui leur ouvre la voie du monde de leur désir pour certain et de la vie publique pour d'autre. C'est Lui qui les sort du carcan où à jamais ils seraient restés enfermés.
«Viens» pour accomplir ta mission, «viens» pour réaliser ce, pour quoi tu as été préparé, «viens» pour que la Parole se réalise.
Par ailleurs, dans la vie, comme dans la Bible, ces hommes une fois sur la scène, restent muets. Ils n'ont plus rien à dire et subissent. C'est exactement comme s'ils ont été appelés pour être docilement utilisés sans broncher. Chacun de ces hommes tient la clé de la chute de ce pouvoir mais il n'en fera rien. Parce qu'ils ont été programmés pour nous tuer et nous massacrer. Car le SEIGNEUR a mis dans leur cœur d'aller jusqu'au bout.
Que vaudrait en effet, ce pouvoir, si Bédié dénonçait cette alliance et en sortait ? Et si la haine d'Anaki Kobenan pour Laurent Gbagbo tombait ? Qu'en serait-il de ce pouvoir si sa béquille judiciaire se brisait et que Wodié acceptait d'honorer sa toge en dénonçant tous les dénis de justice dont cet homme s'est rendu coupable ? Et si Soro le sacrificateur était subitement habité par un sentiment humain pour révéler à la face du monde le gigantesque charnier à l'échelle nationale sur lequel il est assis et dont Ouattara et lui sont responsables ? Qu'adviendrait-il de ce pouvoir si Mabri Toikeuse décidait brusquement de dénoncer le génocide de ses parents qu'il a offert sur l'autel de ses ambitions personnelles pour les sacrifices de Ouattara ? Et si Gnamien Konan révélait les vrais commanditaires de la catastrophe du Kobo Koala qui aujourd'hui encore continue de faire des victimes dans notre peuple ?
Chacun d'eux, comme nous le voyons, détient un bout de l'explosif qui pourrait emporter ce pouvoir afin de nous sortir de ce cauchemar. Mais, ils n'en feront rien. Frustrés, ils se tairont. Comme rançon de la traitrise, ils se contenteront de miettes.
Cette analyse de l'entrée en scène de nos six hommes montre que seul Laurent GBAGBO a pu être la clé pour leur ouvrir la porte. La porte pour accéder chacun à la position dont a eu besoin l'ennemi.
Or, nous savons que si c'est à JÉSUS CHRIST qu'est dévolu le pouvoir d'ouvrir les sept sceaux dans les Écritures Saintes, dans les cieux, c'est qu'en réalité personne d'autre que Lui ne peut le faire sur terre. Car, en vérité, ce que DIEU a scellé, personne d'autre que le SEIGNEUR ne peut le défaire. Mais, à l'évidence un homme, Laurent GBAGBO a pu réussir sur terre ce que le CHRIST a réalisé dans les cieux. Indubitablement nous sommes obligés d'admettre que celui qui réussit cette action sur terre n'est autre que le CHRIST SAUVEUR. Car nous l'avons vu, la Parole est formelle et ne se dément pas : «Nul n'avait pouvoir d'ouvrir le livre ni d'y jeter les yeux» (Révélation 5.3). C'est qu'il n'était possible à personne de porter le regard sur le livre à plus forte raison d'en ouvrir les sceaux. C'est ici donc que la logique rejoint la foi pour nous révéler que le nouveau nom du CHRIST est LAURENT GBAGBO et que, le faisant, elles nous confirment ce que le Pape Jean Paul II, annonçait sur cette terre, il y a une vingtaine d'années de cela : «la Côte d'Ivoire est la nouvelle patrie du CHRIST».
Je tombai à genou de joie pour prier et remercier notre SEIGNEUR pour l'honneur qu'il me fait de me permettre de vivre ce temps de Son retour glorieux. Ce temps merveilleux promis à nos ancêtres. Ce temps de bonheur du retour du CHRIST ROI.
Suite: LA BONNE NOUVELLE (suite)
Que le SAINT de notre peuple vous bénisse.
A. NEBELE Sanseu Épiphanie