LGESTSEIGNEUR

58- A PROPOS DE LA RACE D’ISRAËL

Ce que je me permets d'aborder ici, c'est la question de la race du peuple d'Israël. J'aborde ce sujet pour que nul doute, ou tout au moins, pour que nul complexe ne subsiste en toi mon frère.

 

C'est un sujet qui m'a été suggéré dans un échange avec l'un de mes proches qui me demandait un jour, si c'était possible que Jésus ait été Noir, alors même que tous les films et toutes les représentations nous le présentent de race blanche, et que la Vierge nous est présentée dans ses apparitions comme blanche. J'avoue que je n'avais aucune réponse à ces questions.

 

Mais, faut-il rappeler que ce ne sont là que des représentations d'hommes ? Faut-il rappeler qu'aucun de ceux qui ont créé les portraits de Jésus Christ ne l'ont vu ? Faut-il rappeler que ces portraits et toutes ces représentations sont loin d'être Jésus ?

 

Ces représentations, ce n'est pas Jésus. Cela, tout le monde le sait j'imagine. Mais ce qui est grave pour nous, c'est le message de suggestion qu'elles véhiculent, ces images. Ces images, en effet, comme un message subliminal, nous obligent à ne voir Jésus que sous cette couleur de peau insinuée. Ainsi conditionné, l'humanité toute entière, ne peut supposer un seul instant, voir le Christ autrement que blanc.

 

Mais, laissons là ces supputations, et soumettons à la Parole nos interrogations.

Nous analyserons ensemble trois cas pour mener la réflexion.

 

1er Cas : David

 

Voici ce qui est dit de David choisi par DIEU pour être oint comme roi d'Israël.

1 Samuel 16.12

 

- Isaï l'envoya chercher. Or il était blond, avec de beaux yeux et une belle figure. L'Éternel dit à Samuel: Lève-toi, oins-le, car c'est lui! (La Bible, version Louis Segond 1910, Version électronique)

- Et il envoya et le fit venir. Or il avait le teint rosé, avec de beaux yeux, et était beau de visage. Et l'Éternel dit : Lève-toi, oins-le ; car c'est celui-là. (Traduction J.N.Darby Traduction d'après l'original Hébreu ; Version électronique)

- Jessé le fit donc venir. Le jeune homme avait un teint clair, un regard franc et une mine agréable. Le SEIGNEUR dit alors à Samuel : «C'est lui, consacre-le comme roi.» (LA BIBLE, Ancien et Nouveau Testament, Traduite de l'hébreu et du grec en français courant, Nouvelle édition révisée, Alliance Biblique Universelle)

- Jessé le fit donc venir. Il avait le teint clair, une jolie figure et une mine agréable. Le SEIGNEUR dit : «Lève-toi, donne-lui l'onction, c'est lui.»  (LA BIBLE version TOB, 1988)

 

Ce qui est transcrit ci-dessus, ce sont quatre versions du même verset de la Bible (1Samuel 16.12). Comme on le voit, il s'agit du portrait du jeune David futur roi de Juda et d'Israël. De la couleur de sa peau, il est dit dans les versions électroniques (Louis Segond et J.N. Darby) à ma disposition qu'«il était blond» ou qu'«il avait le teint rosé». Ce qui ne laisse aucune équivoque quant à l'interprétation, si on ne s'en tient qu'à cela. Étant entendu qu'un Noir ne pourrait être blond. Un blond est blanc et forcément de teint clair, David est de teint clair, il est blond, donc David est blanc. On en serait resté là, n'eut été l'existence des deux autres versions dont l'une dit : «Le jeune homme avait un teint clair» (ABU) et l'autre : «Il avait le teint clair» (TOB), ce qui revient à dire la même chose.

 

Ces deux dernières versions, ajoutées à la version J.N. Darby (trois contre un donc), prouvent que l'on parle de la couleur de la peau et non de cheveux et cela constitue un problème pour ma petite tête, je l'avoue. Et vous en conviendrez si vous vous mettiez dans les mêmes dispositions que moi face à ce verset.

 

Il s'agit de le lire sans à priori et de faire abstraction de ce que disent les deux premières versions. Dans ces conditions donc, nous prenons notre Bible TOB ou ABU et nous lisons : «le jeune homme avait un teint clair» ou «il avait le teint clair». La question qui m'est venue et qui refuse de partir est pourquoi l'auteur, s'il est lui-même blanc, se sent-il obligé de préciser que David a un teint clair, ce qui devait  aller de soi. N'est-ce pas parce que le teint clair de David tranchait avec la couleur de peau autour de lui, dont celle de l'auteur (ou du prophète) de ce livre ? N'est-il pas évident que la couleur claire de la peau de David est facilement plus remarquable par rapport à la couleur plus sombre de la majorité du peuple ?

 

Dans un environnement où tous sont blancs, quel besoin aurait eu l'auteur de souligner la couleur claire de la peau d'un membre de la communauté ? Car, il s'agit bien ici de peau et non de couleur de cheveux.

 

Par ailleurs, l'on pourrait noter que cet aspect du portrait de David fait partie d'un ensemble de traits (figure, mine, teint) énumérés qui soulignent sa beauté qui semble toute singulière. Or, nous savons que de tout temps, la couleur claire de la peau fait partie des signes qui particularisent la beauté d'un individu, chez nous les Noirs. Bien avant que les «desquamations» ne soient ce fléau que nous vivons, l'on disait de quelqu'un qu'il est clair comme un homme blanc dirait d'un autre qu'il est bronzé avec toute la charge appréciative de cette expression (encore que le bronzé s'obtient par des artifices).

 

C'est à ce titre que l'on disait : "mousso gbè" (cela ne se dit guère plus, toutes étant devenues claires), "tchè gbè" ou "Siaka gbè" chez certains, pendant que d'autres se nomment "Koffi n'go" ou "kokolè" (Koffi le clair) ou "Amoin n'go" au centre de notre pays. Cette particule "n'go", peut d'ailleurs, à vie, rester associée au nom, alors qu'il ne devrait constituer qu'un moyen de différenciation en cas de confusion.

 

Serait-il possible que l'auteur ait précisé la couleur claire de la peau de David pour ajouter un élément de plus et non des moindres à l'énumération des signes qui caractérisent la beauté de David ?

 

2ème Cas : Ésaü et Jacob

 

Pour continuer la discussion, je vous invite à méditer ces versets de la Genèse sur la naissance d'Ésaü et de Jacob. Vous lirez aussi Abdias. Ne vous en faites pas, c'est très court.

 

«Et l'Éternel lui dit: Deux nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles; un de ces peuples sera plus fort que l'autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit. Les jours où elle devait accoucher s'accomplirent; et voici, il y avait deux jumeaux dans son ventre. Le premier sortit entièrement roux, comme un manteau de poil; et on lui donna le nom d'Ésaü. Ensuite sortit son frère, dont la main tenait le talon d'Ésaü; et on lui donna le nom de Jacob. Isaac était âgé de soixante ans, lorsqu'ils naquirent.» (Genèse 25.23-26)

 

Ces versets font bien remarquer la couleur de peau d'Ésaü, (entièrement roux). Ce qui laisse supposer que cette couleur de sa peau est différente de celle de Jacob et de celle de ses parents. C'est ce qui explique qu'elle soit soulignée. En effet, si la Parole mentionne cette couleur, alors qu'il n'est fait aucun cas de la couleur de Jacob, ni de celle de ses parents, c'est que lui seul est différent des autres.

 

Or, c'est Ésaü qui est Édom qui donne le peuple d'Europe. Nous sommes donc fondés de dire que ce roux, couleur de peau d'Ésaü, c'est ce qui a donné ce que nous appelons la race blanche aujourd'hui. Des deux peuples, Israël et Édom, c'est l'Europe (Édom) le plus grand, le plus fort et le dominateur jusqu'à ce jour.

 

Mais, c'est Jacob, souvenez-vous, qui reçu la bénédiction de notre père Isaac : «Que des peuples te soient soumis, et que des nations se prosternent devant toi! Sois le maître de tes frères, et que les fils de ta mère se prosternent devant toi! Maudit soit quiconque te maudira, et béni soit quiconque te bénira.» (Genèse 27.29)

 

Nul doute donc, que peuple de DIEU, c'est à Jacob et c'est à nous que revient la royauté éternelle par le règne de notre DIEU, à la fin du temps des nations. Et, c'est devant Israël et David son roi, c'est-à-dire l'Oint de DIEU qui sera établi que se prosterneront toutes les nations. C'est écrit, et telle est la volonté de l'ÉTERNEL et personne, ni aucune cabale n'y pourra rien.

 

Certainement que, pour polémiquer, l'on rétorquera que cela ne prouve pas qu'Israël soit Noir. Soit, mais cela montre au moins que Jacob n'est pas de la même couleur de peau qu'Ésaü et donc qu'Israël n'est pas blanc. Et que les premiers hommes, jusqu'à Ésaü certainement, n'étaient pas blancs (mais, ça c'est une autre affaire). Or, si Israël n'est pas blanc, de quelle couleur de peau peut-il être ?  Jaune ou rouge ?

 

Si nous supposons Israël, Jaune ou Rouge, il faudra prouver que les jaunes ou les rouges aient séjourné en Afrique (Égypte) pour envisager ou espérer leur trouver une histoire qui coïncide avec celle d'Israël. La question est donc posée : est-il possible que l'une de ces deux races (jaune ou rouge) ait séjourné en Égypte ?

 

Non, il ne faut pas se mélanger les pédales. Laissons à l'écart, les rouges et les jaunes qui au demeurant ne sont que des nuances à peine perceptibles de ce que nous appelons blanc. Il n'y a aucun doute que cette histoire de Jésus et d'Israël se passe entre nos oppresseurs blancs et nous peuples noirs.

 

Ce que je veux vous faire définitivement enregistrer, c'est que Jacob qui est Israël est différent d'Ésaü qui est Édom qui donne l'Europe. Cela est très important à savoir. Et les Écritures insistent bien sur ce fait dans le chapitre 36 de la Genèse, pour que nous l'ayons à l'esprit.

 

-«Voici la postérité d'Ésaü, qui est Édom.» (Genèse 36.1)

-«Ésaü s'établit dans la montagne de Séir. Ésaü, c'est Édom.» (Genèse 36.8)

-«Voici la postérité d'Ésaü, père d'Édom, dans la montagne de Séir.» (Genèse 36.9)

-«Ce sont là les fils d'Ésaü, et ce sont là leurs chefs de tribus. Ésaü, c'est Édom.» (Genèse 36.19)

-«Le chef Magdiel, le chef Iram. Ce sont là les chefs d'Édom, selon leurs habitations dans le pays qu'ils possédaient. C'est là Ésaü, père d'Édom.» (Genèse 36.43)

 

C'est «la postérité d'Ésaü, qui est Édom», «Ésaü, c'est Édom», «c'est là Ésaü, père d'Édom». L'insistance est claire comme si le SEIGNEUR voulait que cette connaissance ne nous échappe pas. Édom et Israël sont frères, ce qui veut dire que le peuple d'Israël noir et le peuple d'Europe blanc sont frères descendants du même Isaac. Cette insistance doit en fait nous faire rechercher dans les Écritures qui sera Ésaü par la suite et quelles seront les œuvres qui lui seront imputables.

 

Et la Parole de DIEU dit : «deux nations sont dans ton ventre et deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles». C'est clairement dit, les deux peuples se sépareront. C'est-à-dire qu'ils seront deux peuples bien distincts avec des destinées bien différentes. L'un, Édom dominant l'autre, Jacob. Et, quand vous lisez Abdias, vous comprenez que c'est pour avoir pillé et dévasté Israël (son frère) et son continent, la Montagne de Sion, qu'Ésaü ou Édom (Babylone) sera puni et précipité au jour du SEIGNEUR.

 

«1.1 Prophétie d'Abdias. Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel, sur Édom: -Nous avons appris une nouvelle de la part de l'Éternel, et un messager a été envoyé parmi les nations: Levez-vous, marchons contre Édom pour lui faire la guerre! - 1.2 Voici, Je te rendrai petit parmi les nations, tu seras l'objet du plus grand mépris. 1.3 L'orgueil de ton cœur t'a égaré, toi qui habites le creux des rochers, qui t'assieds sur les hauteurs, et qui dis en toi-même: Qui me précipitera jusqu'à terre? 1.4 Quand tu placerais ton nid aussi haut que celui de l'aigle, quand tu le placerais parmi les étoiles, Je t'en précipiterai, dit l'Éternel. (…) 1.8 N'est-ce pas en ce jour, dit l'Éternel, que Je ferai disparaître d'Édom les sages, et de la montagne d'Ésaü l'intelligence? 1.9 Tes guerriers, ô Théman, seront dans l'épouvante, car tous ceux de la montagne d'Ésaü périront dans le carnage.

 

1.10 A cause de ta violence contre ton frère Jacob, tu seras couvert de honte, et tu seras exterminé pour toujours. 1.11 Le jour où tu te tenais en face de lui, le jour où des étrangers emmenaient captive son armée, où des étrangers entraient dans ses portes, et jetaient le sort sur Jérusalem, toi aussi tu étais comme l'un d'eux. 1.12 Ne repais pas ta vue du jour de ton frère, du jour de son malheur, ne te réjouis pas sur les enfants de Juda au jour de leur ruine, et n'ouvre pas une grande bouche au jour de la détresse! 1.13 N'entre pas dans les portes de mon peuple au jour de sa ruine, ne repais pas ta vue de son malheur au jour de sa ruine, et ne porte pas la main sur ses richesses au jour de sa ruine! 1.14 Ne te tiens pas au carrefour pour exterminer ses fuyards, et ne livre pas ses réchappés au jour de la détresse ! 1.15 Car le jour de l'Éternel est proche, pour toutes les nations; il te sera fait comme tu as fait, tes œuvres retomberont sur ta tête. 1.16 Car, comme vous avez bu sur ma montagne sainte, ainsi toutes les nations boiront sans cesse; elles boiront, elles avaleront, et elles seront comme si elles n'avaient jamais été. 1.17 Mais le salut sera sur la montagne de Sion, elle sera sainte, et la maison de Jacob reprendra ses possessions. 1.18 La maison de Jacob sera un feu, et la maison de Joseph une flamme; mais la maison d'Ésaü sera du chaume, qu'elles allumeront et consumeront; et il ne restera rien de la maison d'Ésaü, car l'Éternel a parlé.» (Abdias 1.1-18)

 

A lire aussi Jérémie 49.7-22. Il est inutile de polémiquer, le seul peuple, le seul continent qui est promis à la ruine éternelle au temps de la fin c'est Édom, c'est-à-dire Babylone la grande, aujourd'hui nommé Europe, du moins en ce qui concerne sa partie occidentale.

 

Et, cette Parole, c'est pour les temps présents, c'est pour les temps de la fin. Et, cette destruction d'Édom (l'Europe) mentionnée dans cet extrait, c'est la fin prévue pour ce continent avant le règne de DIEU. La boisson dont-il est question au verset 1.16, c'est la coupe de la colère de l'ÉTERNEL dont parle le prophète Jérémie. Il s'agit de la coupe qui devait rendre ivre tous les rois de Babylone et du monde afin de leur enlever toute intelligence au temps de la fin. «Car ainsi m'a parlé l'ÉTERNEL, le Dieu d'Israël: Prends de Ma main cette coupe remplie du vin de Ma colère, et fais-la boire à toutes les nations vers lesquelles Je t'enverrai. Ils boiront, et ils chancelleront et seront comme fous, à la vue du glaive que J'enverrai au milieu d'eux.» (Jérémie 25.15-16)

 

Chacun de nous voit aujourd'hui comment ces gens agissent. Ils se comportent désormais comme fous, ces monstres à la tête de nos nations. Érigés en communauté internationale et guidés par on ne sait quels intérêts, ils posent des actes de plus en plus dénués de sens. C'est le règne et la dictature de l'argent et des intérêts sordides. Et les hommes, la vie humaine et le bien être des peuples sont piétinés. C'est la destruction de nations entières sous des prétextes les plus fallacieux les uns que les autres : Irak, Côte d'Ivoire, Libye et maintenant Syrie. Il se prépare l'attaque contre l'Iran. Appui massif à la manipulation et à des causes injustes, soutien au désordre et au chaos. La force et la puissance au service du mensonge imposé comme vérité au forceps.

 

«Le glaive au milieu d'eux» c'est l'Oint du SEIGNEUR, le Christ envoyé pour les confondre dans leur mensonge et leur iniquité.

 

Ils sont comme fous et mènent leurs peuples à la ruine. Ce qui adviendra pour ce peuple et pour ce continent, le chapitre 34 du livre d'Ésaïe est assez édifiant pour nous en instruire. Et nous y reviendront.

 

Vu tout ce qui précède, il est tout à fait impossible d'être descendant d'Édom, c'est-à-dire d'Europe et d'Israël à la fois. Il est tout à fait impossible comme on veut nous le faire croire et comme nous le voyons de nos jours, d'être Européen de souche et de se réclamer à la fois israélite descendant du Jacob de la Bible. Disons le tout net, il est tout a fait impossible d'être blanc et de se dire Israélite descendant de Jacob.

 

Or les propriétaires actuels d'Israël en Palestine sont des descendants blancs de divers peuples d'Europe. De toute évidence, il y a imposture quelque part.

 

Ce que nous apprend l'histoire d'Édom (Ésaü) et d'Israël, c'est que les peuples blancs et noirs sont deux peuples frères depuis Isaac, c'est pourquoi recommanda l'ÉTERNEL à Israël : «Tu n'auras point en abomination l'Édomite, car il est ton frère» (Deutéronome 23.7). De fait, toute la terre nous est témoin que nous les Noirs ne les détestons pas et ne nourrissons aucune haine contre les blancs, même si eux ne nous aiment pas, ce qui est même un euphémisme pour certains.

 

Mais, sortie du sein de Rebecca, les deux peuples se séparèrent. Et c'est la méchanceté d'Édom (Europe) envers Israël qui lui vaudra la ruine éternelle qui est prévue pour bientôt. Car le jour du SEIGNEUR, ce jour grand et redoutable est tout proche.

 

Ce que ce peuple veut en réalité, c'est vivre notre futur après avoir savouré, vautré dans le luxe, son passé à lui. Ils ont reçu la domination qui, appliquée avec méchanceté, devait aboutir à la chute selon le décret divin. Cette  domination, ils en ont joui, ils l'ont exercée, ils en ont abusé et ils l'ont savourée, leur puissance. Mais, de la chute, ils n'en veulent pas. Ils voudraient changer le temps comme ils changent la loi. Ils veulent s'ériger en DIEU, pour intervertir l'ordre divin afin de perpétuer leur suprématie et leur tyrannie qui, inexorablement prennent fin, pour faire place au règne de DIEU et à sa justice éternelle par son peuple élu.

 

Voici, mes frères ce que j'ai pu rassembler sur ce sujet. Il y a encore beaucoup à dire, mais c'est là, je crois, l'essentiel qui vous amènera à la réflexion. Je vous laisse analyser et tirer toutes les conclusions qui s'ensuivent. Mais de grâce, ne dites pas qu'il est impossible qu'Israël soit Noir. [suite : 59- 3ème Cas : Moïse]

 

Que l'ÉTERNEL vous bénisse.

 

A NEBELE Sanseu Épiphanie



06/09/2012
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