7- L'AGNEAU ET LES SIX PREMIERS SCEAUX (Ap 6.1-17) 2ème partie
Les 6 traitres de l'alliance autour de Ouattara (2) [1]
- Mabri Toikeuse Albert (4)
«Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre.» (Révélation 6.8)
«Un cheval d'une couleur pâle». Blême ou pâle, des adjectifs qui évoquent la mort. Tout ici d'ailleurs évoque la mort. Le nom du cavalier, il «se nommait la mort». Après vérification nous trouverons certainement ce que signifie son nom dans sa langue. Il donne l'impression d'être suivi par la mort. Or, c'est bien dans sa région d'origine que l'ennemi se livre aux exactions les plus atroces et les plus sordides et le SEIGNEUR nous dit : «et le séjour des morts l'accompagnait». Après lui, viennent les exactions, les tueries, les incendies de localités, semant la désolation. Rien ne les y inquiète, même pas les dénonciations des quelques organisations qui, voulant se revêtir d'un peu de crédibilité après leur forfait, n'ont pu se taire sur les nombreux crimes dont elles sont témoins. Ils continuent. Ils tuent à volonté par dizaine, par centaine, par millier. Personne ne s'en émeut, aucun tribunal ne s'en saisira. Ils le savent car «le quart de la terre» leur est abandonné jusqu'à la fin du temps des nations.
«Le quart de la terre», qu'est-ce ? - Si nous divisons la CI en zones selon les quatre points cardinaux : Nord, Sud, Est et Ouest, nous retrouvons un territoire en quatre (4) parties dont chacune, donc l'Ouest, en représente le quart. Ici donc la terre c'est le pays et l'Ouest fait le quart du pays selon cette division.
Le dernier indice qui nous permet de pister notre bourreau est contenu dans la ligne qui suit : «Le pouvoir (…) de faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre ». Les hommes dans cette partie de notre pays, vous en êtes témoins, meurent par les armes (l'épée) des rebelles qui y mènent des expéditions d'extermination selon le mot d'ordre de génocide émit par Ouattara et Sarkozy. Vos propres organisations nous le confirment, elles qui viennent de ne déclarer (c'est déjà ça) par pudeur, que huit cent tués d'un seul tenant. Nos frères dans cette partie meurent par la faim, parce que leurs champs et plantations se retrouvant brûlés et dévastés par leurs bourreaux quand ils ne sont pas carrément chassé de leurs terres; ils meurent par les maladies de toutes sortes parce que vivant dans des conditions inhumaines de réfugiés ; ils meurent enfin par les bêtes sauvages, car au cours de leurs fuites à travers bois pour échapper aux poursuivants, ils sont attaqués et dévorés par les fauves.
Tous ces indices nous ramènent indubitablement à la vie à l'Ouest de notre pays, fief d'Albert Mabri Toikeuse. Celui là même qui a bâti sa prospérité actuelle sur la mort (cheval d'une couleur pâle) du général Guéï. Il a enfourché la mort.
Je vous promets que le premier Yacouba sur qui je mettrai la main, devra m'expliquer ce que signifient et Mabri et Toikeuse (ou phonétiquement toi/keu/seu), je ne le lâcherais pas, sinon. Yako mes frères, vous avez payé nombreux, de vos vies, la folie des uns. Dieu vous a en pitié.
- Soro Kigbafori Guillaume (5)
«6.9 Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de DIEU et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu. 6.10 Ils crièrent d'une voix forte, en disant: Jusques à quand, Maître saint et véritable, tardes-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? 6.11 Une robe blanche fut donnée à chacun d'eux; et il leur fut dit de se tenir en repos quelque temps encore, jusqu'à ce que fût complet le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères qui devaient être mis à mort comme eux.» (Révélation 6.9-11)
«Sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de DIEU et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu». L'autel ici, c'est la nouvelle patrie du Christ, c'est la Côte d'Ivoire, c'est le temple de DIEU sous lequel sont enfouis les corps en zone CNO depuis 2002 et partout dans le pays depuis ce coup d'État. Ce sont les charniers pour enfouir tous ceux qui défendaient la nation, gendarmes, policiers, fonctionnaires en activité, civils manifestants. Tous ceux qui reconnaissent le pouvoir consacré par DIEU le Père.
«Jusqu'à quand, Maître saint et véritable, tardes-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre». C'est ici le cri des martyrs. Ils crient et réclament impatiemment vengeance auprès du Maître et Véritable. Ils crient et demandent au SAINT que justice soit faite. Ce sont des cris qui accusent leurs persécuteurs. C'est le sang innocent versé qui crie à DIEU. Et le Père a entendu. L'ÉTERNEL les a vus. Tous, autant qu'ils sont, ont été recueilli auprès de DIEU notre Père ; car comme le dit la Parole : «Une robe blanche fut donnée à chacun d'eux». C'est dire qu'ils ont déjà, chacun leur place auprès de l'ÉTERNEL, car ils sont morts pour la VÉRITÉ, donc pour Lui, car ils sont morts pour la JUSTICE, donc pour Lui. C'est donc contre Lui qu'ils font la guerre. «La robe blanche», je vous le rappelle, on ne l'acquiert que quand on est lavé de nos péchés.
«Il leur dit de se tenir en repos quelques temps encore, jusqu'à ce que fût complet le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères qui devaient être mis à mort comme eux.» C'est que les martyrs doivent encore attendre car d'autres arrivent pour compléter leur nombre. Ce sont les agents des forces de l'ordre et travailleurs assassinés en service et les civils manifestants aux mains nues fusillés et décapités par les rebelles et l'armée française puis par l'armée mondiale à travers l'ONUCI-Licorne.
Tous ces indices nous peignent le chef connu de cette zone qui a étendu son champ macabre sur tout le pays désormais. Ce n'est autre que Soro Kigbafori Guillaume. On remarquera qu'il n'a pas de parti et qu'il ne provient d'aucune institution donc pas de cheval pour être introduit et accomplir sa salle besogne, mais une structure, une organisation diffuse et non structurée.
Il est le grand sacrificateur de l'équipe. On lui commande du sang ? Il ne demande pour seules précisions que la quantité à fournir et la date de livraison. Il organise une embuscade, il simule la prise de la RTI ; puis l'attaque menée, le tour est joué.
- Gnamien Konan (6)
«6.12 Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, 6.13 et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. 6.14 Le ciel se retira comme un livre qu'on roule; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. 6.15 Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. 6.16 Et ils disaient aux montagnes et aux rochers: Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau; 6.17 car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister?» (Révélation 6.12-17)
«Un grand tremblement de terre» : cela fait référence à un événement qui secoue tout le pays, c'est un fait qui a un énorme retentissement et qui touche toutes les couches de la société. A la suite de cet évènement, « le soleil devint noir ». Le soleil c'est l'éclat, c'est le rayonnement. C'est l'image du pays qui fut ternie. L'éclat de toute la nation et de ses fils s'assombrit.
«La lune entière devint comme du sang». «La lune», c'est le littoral sur lequel «la femme a le pied» (Révélation 12.1) [1]. C'est dire que tout le littoral de notre pays est comparé à du sang, donc à la mort. C'est une comparaison dont le caractère hyperbolique souligne la gravité du mal qui atteignit le pays. C'est, pouvons-nous supposer, d'une pollution qu'il s'agirait dans ces versets. Alors disent les Écritures : «Les étoiles du ciel tombèrent sur la terre comme des figues vertes». Les étoiles du ciel, ce sont ces petits astres beaux et inoffensifs que nous contemplons paisiblement le soir. Ces astres tombaient précocement comme des figues vertes qu'on a forcées à chuter. Sachant qu'une chute précoce est toujours provoquée même quand c'est inexpliqué, et ramenant cette situation céleste à une dimension terrestre et humaine, nous pouvons supposer être en présence de cas d'avortements provoqués. Provoqués par un phénomène inexpliqué. Les étoiles du ciel ce sont les nourrissons, ce sont les fœtus, ce sont les enfants, c'est par extension le peuple de DIEU (les étoiles étant le peuple du ciel).
Toutes choses qui nous font penser à ces nombreux avortements spontanés qui ont fait suite aux déversements des déchets toxiques. Les registres des maternités correspondants à cette période, attesteront certainement cette assertion de même que l'apparition de maladies et de morts inexpliqués depuis ce temps-là. Plus intéressant encore, pour nos investigations, est ce qui se passa ensuite et que révèle la Parole. Car à la suite de ce triste acte : «le ciel se retira» comme pour se dérober.
«Le ciel se retira comme un livre qu'on roule». Quand on roule un livre (un parchemin), n'est-ce pas pour le ranger ? N'est-ce pas pour le soustraire à la vue ? Le ciel ici, dans ce verset, c'est ce qui sert de couverture aux malfaiteurs, c'est le responsable qui décline toute responsabilité pour exposer d'autres personnes. Le ciel se dit «gnamien» en baoulé. Et comme par hasard le directeur de la douane au moment de cette affaire s'appelle GNAMIEN. A cette époque-là, au moment de ce triste événement, tous les regards se tournèrent vers lui ; mais notre homme Gnamien (le ciel) «se roula», il se fit tellement petit qu'on l'oublia pendant que d'innocentes personnes souffraient des accusations.
«Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes». Remarquons que cette affaire ébranla fortement notre pays. Les vrais auteurs se cachant pour ne pas assumer leurs responsabilités. De nombreuses personnes, à tous les niveaux furent mises en cause. L'affaire eut un tel retentissement que toute la Côte d'Ivoire en fut remuée. On invita les artistes chanteurs ivoiriens à ne pas s'en inspirer sous le motif que l'affaire était trop sérieuse pour être tournée en dérision. Le gouverneur d'Abidjan, Amondji fut ouvertement accusé.
Aujourd'hui, mon frère, voici la vérité. Voici les vrais responsables, ceux qui tranquillement et lâchement ont semé la mort et jeté l'opprobre sur autrui. Interrogez-les, ils connaissent commanditaires et complices.
Toutes ces réactions ici décrites s'ajoutant aux faits relatés plus haut, nous confirment qu'il s'agit bien de l'affaire Kobo Koala des déchets toxiques. Orientant nos regards vers le responsable des douanes de cette triste époque, on s'aperçoit que ce n'est autre que le traitre de la république, Gnamien Konan. Celui là-même qui ne trouva autre chose à faire que de démissionner de la tête de cette structure au moment où les ivoiriens croyaient avoir le plus besoin de lui. Gnamien Konan dont le nom ''Gnamien'' signifie ciel, était chargé de faire tomber les étoiles, de faire mourir précocement, les enfants, le peuple, les anges de DIEU.
On se rappelle qu'il laissa accuser d'autres personnalités, se cachant derrière la crédibilité que lui conféraient les relatifs bons résultats obtenus par la douane. Mais pourquoi ont-ils eu besoin de celui-là ?
Ce sont ici les égarements de ceux qui croient que l'enchantement pouvait venir à bout de ce peuple. En effet, s'étant aperçu que ce peuple est protégé par le SEIGNEUR, CELUI dont la demeure est dans les cieux et qui a fait de ce royaume le Sien propre, il leur fallait un homme qui symbolise les cieux pour réussir, sur le plan spirituel, ''la mainlevée'' sur ''le compte'' Côte d'Ivoire, afin de leur permettre d'y réussir leurs ambitions. Dans leurs pratiques sataniques, ils ont compris que DIEU fait corps avec les ivoiriens, comme le ciel (gnamien) fait un avec les étoiles. Si quelqu'un du peuple qui symbolise les cieux, car en portant le nom, permet et participe à la chute des étoiles, c'est-à-dire à la mort de son peuple (les étoiles sont le peuple du ciel), c'est qu'il ne saurait plus y avoir d'obstacles pour prendre le royaume ; car c'est comme si DIEU acceptait de livrer son peuple. Cet homme donc, est pour eux, par cet acte ignoble sur ses frères, la levée du sceau de l'ÉTERNEL sur son peuple. Ils y croient en tout cas.
Lui non plus n'a pas de parti, donc pas de cheval, quand il exécute cet acte nauséeux.
Voici identifier dans ces pages, ceux à qui nous avons affaire. Voici ces hommes qui font la guerre à ce pays. Voici, mon frère, les méchancetés dont nos frères se sont rendus coupable à notre endroit. Oui c'est là la traitrise que dénonce ton DIEU, l'ÉTERNEL. Ils refuseront sans doute de se reconnaitre, malgré toutes ces précisions. Mais, sache le, ce sont là les traitres de l'Alliance Sainte, sans qui l'ennemi extérieur n'aurait jamais pu se livrer à ses manœuvres sordides. Remarquez qu'ils sont regroupés dans le chapitre 6 et qu'ils sont au nombre de six (6).
Si vous dormiez, réveillez vous. Si vous étiez dans la torpeur, secouez-vous. L'heure du SEIGNEUR arrive. Celui qui nous sauve se lève de sa demeure Sainte. Il n'y a plus de temps, c'est pourquoi l'ennemi est aux abois.
Que DIEU vous bénisse!
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